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Lien vers 1er décembre 2018
Lien vers 1/12/17 : http://bn-gn.blogspot.com/2017/12/du-1er-au-31-decembre.html?m=1
Lien vers bn du 1/12/2016
Lien vers Bn du 1/12/15 : http://bn-gn.blogspot.fr/2015/12/mardi-1er-decembre-en-belgique-un-train.html?m=1
Du 1/12/2014 : http://bn-gn.blogspot.fr/2014/12/lundi-1er-decembre-le-marais-girard.html?m=1
Du 2/12/2013 : http://bn-gn.blogspot.fr/2013/12/lundi-2-decembre-oprah-winfrey-fond.html?m=1
Du 3/12/2012 : http://bn-gn.blogspot.fr/p/historique-de-decembre-2012.html?m=1
Cat4
https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/la-machine-credit-agricole-tourne-toujours-a-plein-regime-1146449
La machine Crédit Agricole tourne toujours à plein régime
L'entité
cotée du groupe mutualiste a dégagé un résultat net part du groupe de
1,2 milliard d'euros au troisième trimestre en hausse de 8,9 % sur un
an. Elle vient aussi de remporter le duel à 1 milliard d'euros qui
l'opposait au fisc depuis 2012. Philippe Brassac, mène depuis 2015
l'entité cotée du groupe Crédit Agricole.
Par
Édouard Lederer Publié le 8 nov. 2019 à 7h01 Mis à jour le 8 nov. 2019 à
17h58
Trimestre sans accroc pour Crédit Agricole SA (CASA). La
structure cotée du groupe mutualiste a publié vendredi matin un résultat
net part du groupe de 1,2 milliard d'euros pour le troisième trimestre,
en hausse de 8,9 % sur un an. Au passage il renforce légèrement son
ratio de fonds propres « durs », qui s'élève à 11,7 %.
Un fameux coup de
pouce
Mieux, ce ratio devrait connaître un coup de pouce de 0,32 % à la
fin du quatrième trimestre, a annoncé la banque verte vendredi, après
la fermeture des marchés. Elle vient en effet de remporter
définitivement le duel qui l'opposait depuis des années au fisc, et qui
portait sur la déductibilité d'une charge supportée par CASA en 2012,
lors de la cession de la banque grecque Emporiki. Cette décision lui
permet d'intégrer définitivement dans ses comptes une somme d'un
milliard d'euros que lui avaient déjà remboursé les services fiscaux
l'an dernier , après un arrêt de la Cour administrative d'appel de
Versailles.
Sur le plan opérationnel, CASA a bénéficié au troisième
trimestre d'un « effet de ciseau positif » : en clair, les revenus - qui
s'établissent à un peu plus de 5 milliards d'euros sur la période - ont
progressé un peu plus vite que les charges (en hausse de 0,9 % hors
contribution au fonds européen de secours aux banques, le FRU).
Une
recette sans fioriture
Sa recette, sans fioriture, mais efficace
apparaît dans un trimestre que ne ponctue aucun « élément exceptionnel »
: l'offensive commerciale tous azimuts . Pour son directeur général,
Philippe Brassac , c'est le signe d'une « activité commerciale très
dynamique », s'étant déjà traduite par « 210.000 clients supplémentaires
en France et en Italie cette année ». La taille de son portefeuille lui
donne une très grosse force de frappe dès qu'il choisit de se mettre en
mouvement : le groupe pris dans son ensemble (CASA et les 39 banques
régionales) revendique ainsi 51 millions de clients, particuliers,
entreprises ou collectivités.
Tous les métiers contribuent
« Les taux
d'équipement de nos clients poursuivent leur hausse », poursuit Philippe
Brassac, notamment « par le biais de synergies entre entités ». Au
total, les cinq grands métiers (banque de détail, métiers de l'épargne,
banque d'entreprise…) de CASA contribuent positivement à la hausse des
revenus, comme du résultat net. Dans le même temps, le groupe se veut
impavide face à la menace numéro 1 de la finance depuis le début de
l'année : les taux faibles qui jouent les prolongations, alors que
nombre de financiers espéraient voir le loyer de l'argent progresser
autour de la fin 2019.
Normalisation du coût du risque
Dans le domaine
du crédit, les banques compensent les marges faibles par une hausse des
volumes de prêts. Au cours du trimestre, LCL a ainsi vu ses encours de
crédit progresser de plus de 9 % à fin septembre, les caisses régionales
connaissant également une forte dynamique. Dans le même temps, les taux
faibles rendent les ménages plus solvables, maintenant le coût du
risque à un point bas chez LCL. A noter que cet indicateur augmente en
banque de financement. « Nous avons connu en BFI un coût du risque
négatif ces derniers trimestres, c'est-à-dire des reprises de provision
», explique Jérôme Grivet, directeur financier de CASA. Sa remontée ne
serait donc qu'une « normalisation ».
Pilotage délicat pour
l'assurance-vie
Les taux faibles se traduisent aussi par un pilotage
délicat pour l'assurance-vie , dont Predica (la filiale assurance-vie de
Crédit Agricole Assurances) est le deuxième acteur en France. Au cours
du trimestre écoulé, le groupe a procédé à un abondement de 948 millions
d'euros de sa provision pour participation aux excédents (PPE), une
poche de réserve dans laquelle pioche l'assureur pour maintenir la
rémunération des épargnants. Dans le même temps, le groupe a confirmé
son intention de diminuer la rémunération servie sur le fonds en euros
de l'assurance-vie. « Le montant définitif de la PPE comme de la
rémunération du fonds en euros sera définitivement arrêté en fin d'année
».
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