samedi 4 mars 2017

du 1er au 27 mars

mercredi 1er mars
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Et
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lundi 6 mars 2e
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Musicien, mais aussi ingénieur, Laurent Bernadac a décidé d’allier son métier à sa passion : le 3Dvarius est né de son imagination. Ce violon imprimé en 3D permet au violoniste de passer de l’électrique au classique sans perdre ses repères. Le Toulousain de 29 ans en a vendu huit en un an. Il revient tout juste des grands salons californiens.
Il court, il court, Laurent Bernadac. À 29 ans, le Toulousain n’a plus une minute à lui depuis qu’il a créé le 3Dvarius, un violon électrique imprimé en 3D. De retour du salon de l’électronique grand public (CES) de Las Vegas et du NAMM show (National Association of Music Merchants) d’Anaheim, en Californie, il se doit de répondre à la demande. Son instrument, hors du commun, fait sensation.

Souriant, sympathique, avenant et passionné, le jeune homme crée l’adhésion autour de lui. Son accent fait le reste. Et difficile de résister à son invention : le 3Dvarius. La démonstration au cœur de son ancienne salle de classe de l’Institut national des sciences appliquées (Insa) à Toulouse, au milieu des machines du génie mécanique, attire l’attention, malgré les vacances scolaires. Un professeur passe voir l’ancien élève pour regarder de plus près à quoi ressemble ce violon qui a fait ses débuts ici. Il ne ressemblait en rien à ça, à l’origine. « J’ai même d’abord voulu faire un violon en aluminium, mais il aurait été beaucoup trop lourd », explique celui qui, en plus de son diplôme d’ingénieur, a fait le conservatoire de violon classique à Béziers à 14 ans, puis celui de violon jazz à Toulouse.

mardi 7 mars
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mercredi 8 mars
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Cat10-machinerie de la Tour Eiffel
https://www.francebleu.fr/emissions/acces-prive/107-1/acces-prive-32

jeudi 9 mars 2e
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http://positivr.fr/humour-noir-intelligence-humeur-science/


vendredi 10 mars
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dimanche 12 mars
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Huit sociétés montpelliéraines participent à la cinquantième édition du Consumer Electronic Show (CES) de Las Vegas, le plus grand salon mondial consacré au high-tech et au numérique. Du côté des innovations grand public, Awox reçoit un Innovation Award pour ses ampoules connectées, Plussh dévoile son service de vidéo en direct pour les entreprises, Specktr son gant connecté pour DJ, Wezr son capteur météo connecté. Tell me plus, MatchUpBox, Idealys et Kaliop présentent leurs solutions pour...

dimanche 12 mars 2e


lundi13 mars
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C’est une exception mondiale. Alors que de nombreux pays, comme la France, connaissent une surpopulation carcérale, les Pays-Bas ont des places vacantes. Résultat : un tiers des prisons hollandaises vont fermer d’ici 2021, soit 3 000 places. Comment les Pays-Bas ont-ils fait ?
Depuis 2003, la population carcérale a augmenté de 20 % dans le monde selon l’Institut international de recherche en criminologie. Mais les Pays-Bas sont à l’opposé de cette dynamique mondiale. Depuis 2003, dix-neuf prisons hollandaises ont déjà mis la clé sous la porte et huit vont fermer d’ici 2021. Des fermetures qui s’expliquent par une baisse de 50 % de prisonniers. En septembre 2014, 9 857 Hollandais étaient emprisonnés, selon le Conseil de l’Europe, et seulement une vingtaine purgeait une peine de plus de douze ans.

Comment expliquer cette tendance ? D’une part, le taux de criminalité a baissé d'un quart en dix ans. D’autre part, le nombre de remises de peines a augmenté. René van Swaaningen, professeur de criminologie de l’Université de Rotterdam, explique dans le New York Times que « la fermeture des prisons est liée à un choix politique du gouvernement néerlandais », car « les prisons coûtent chères. »
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mercredi 15 mars
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jeudi 16 mars
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Cat2-3* . Espace de la santé
Pour perdre votre bouée, évitez les astuces bidons
Brioche, bedaine, bouée, ventre à bière… Comment perdre cette graisse abdominale ? Pour la « cibler », des dizaines d’astuces nous parviennent chaque jour via les publicités et internet. Mais ces « trucs » peuvent s’avérer inefficaces… voire carrément bidons. Avec l’aide d’un médecin spécialiste du métabolisme, nous vous aidons à faire le tri.
Le Dr Boris Hansel est médecin à l’Assistance publique des Hôpitaux de Paris (APHP), il exerce au sein du service de diabétologie, endocrinologie et nutrition de l’hôpital Bichat - Claude Bernard. Pour ce spécialiste en métabolisme, décider de perdre du gras au niveau de la taille est une bonne initiative, tant les graisses abdominales peuvent entraîner d’ennuis de santé. Mais encore faut-il bien s’y prendre…
« Il n’existe aucun régime qui fasse perdre du ventre », affirme-t-il. Voilà qui commence bien ! Le Dr Hansel est formel, sur tous les aliments possibles et imaginables, aucun n’a d’effet « brûle graisse » abdominale. « Ni tisane ni gingembre ni citron », liste-t-il avec un brin d’ironie.
Pas la peine de faire de fixette sur des aliments en particulier. « Certains s’interdisent les flageolets et les pois chiches, détaille le médecin. Mais ce faisant, ils s’attaquent simplement à l’aérophagie, ce ballonnement causé par une mauvaise digestion. »Parallèlement, consommer des fibres est très bien pour la digestion, mais « n’a aucun intérêt pour perdre de la graisse dans le ventre ».
Non, pour qui veut vraiment perdre de la graisse abdominale, la solution est bien plus simple qu’un régime spécial : le Dr Hansel recommande de privilégier « une alimentation équilibrée telle qu’elle est recommandée par le corps médical, tout en diminuant ses apports ». Manger moins, mais un peu de tout.



(Photo : Pixabay)
Les abdos ? À côté de la plaque
L’exercice physique est un autre volet de la lutte contre la fameuse « brioche ». Mais il faut bien choisir son activité, pour ne pas en faire trop peu… Ni se fatiguer sans résultat. Première cible du Dr Hansel, ce qu’on appelle la « lutte contre la sédentarité ». Un bon début, mais dont on ne saurait se satisfaire. « Ça n’est pas mal de promener son chien ou de monter les escaliers trois fois par jour, mais ça n’a rien d’efficace pour perdre du ventre », explique-t-il. Ce qui est recommandé, en plus d’une diminution des apports, c’est une activité sportive. Mais pas n’importe laquelle…
Faire des abdos pour se débarrasser de sa bouée, c’est faire fausse route. « Le renforcement musculaire a un véritable intérêt, reconnaît le Dr Hansel, mais ce n’est pas lui qui va vous perdre des graisses abdominales… » Les exercices abdominaux, explique-t-il, vont tendre les muscles sous la peau, sans réduire la graisse à l’intérieur du ventre. Or, ce n’est pas la graisse sous-cutanée, mais bien la graisse abdominale qui peut être toxique.
Là où les « abdos » sont intéressants, c’est parce qu’ils améliorent la posture, l’équilibre, et aussi parce que les muscles permettent de garder une dépense énergétique suffisante au repos (et donc à ne pas reprendre du poids quand on en a perdu). Pour qui veut perdre son petit ventre, les sports dits de résistance (abdos donc, et toute activité intense et de courte durée) ne sont donc recommandés qu’en complément d’un sport d’endurance (marche, course, ski, cyclisme, natation, etc.) pratiqué à un niveau modéré.



La cigarette peut accentuer à long terme la prise de graisses abdominales. (Photo : Pixabay)
C’est-à-dire ? « Pour vraiment perdre de la graisse abdominale, il faut un total d’au moins 2 heures 30 par semaine. » Durée que l’on peut séquencer en plusieurs séances, selon son rythme de vie, mais attention : un sport d’endurance n’a aucun effet sur les graisses abdominales si on le pratique pendant moins de 10 minutes. Et il faut s’y tenir, aussi rigoureusement que pour la prise d’un médicament.
Tabac et hormones : attention aux idées reçues
Avant de nous quitter, le médecin insiste sur deux points : les hormones et le tabac. Une idée reçue a la dent dure, celle selon laquelle le tabac pourrait faire maigrir. « Certes, fumer augmente un peu la dépense énergétique (on dépense environ 13 calories par cigarettes). Mais on a découvert que, sur le long terme, pour un poids donné, ceux qui fument ont plus de ventre ! »
Autre détail à prendre en compte pour qui veut se débarrasser de sa « petite bedaine » : si la prise de graisse abdominale est souvent accentuée par des facteurs hormonaux, en particulier chez la femme quand arrive la ménopause, les traitements hormonaux « ne sont pas toujours une indication, estime le médecin. À l’âge de la ménopause, il est surtout recommandé d’accroître sa vigilance sur les points déjà évoqués : nutrition et activité physique. »

Une dernière astuce pour la route ? Dormez, conseille le Dr Hansel. « Tout comme le sport et la nutrition, bien dormir est essentiel. Un sommeil perturbé favorise la production d’une hormone de stress qui fait prendre de la graisse au niveau du ventre. » Pour que tous les efforts ne soient pas vains, en somme, il faut savoir prendre soin de soi.

mercredi 22 mars
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vendredi 24 mars
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samedi 25 mars
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dimanche 26 mars
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