vendredi 28 février 2014

vendredi 28 février : une carte animée exceptionnelle...REGARDEZ COMMENT SOUFFLENT LES VENTS DU MONDE !

http://earth.nullschool.net/#current/wind/surface/level/orthographic=-353.52,47.93,2048

http://www.slate.fr/monde/81367/vents

REGARDEZ COMMENT SOUFFLENT LES VENTS DU MONDE


L’année dernière, les designers Fernanda Viégas et Martin Wattenberg nous avaient apporté la «Carte du Vent», une représentation artistique des vents à travers les Etats-Unis.
Leur carte a inspiré un autre développeur web, Cameron Beccario, qui a adapté le concept à une échelle globale. Beccario a commencé avec une carte des vents de Tokyo, là où il vit. Il l’a ensuite étendu au reste du monde. Vous pouvez voir sa carte animée ici, sur earth.nullschool.net.

En utilisant des données du Global Forecast System, la carte de Beccario se met à jour toutes les trois heures, illustrant les conditions météorologiques proches des niveaux actuels mondiaux. Vous pouvez faire tourner la carte comme un globe, zoomer sur une région en particulier, ou tout simplement profiter de la vue étrangement apaisante des lignes fluorescentes qui font leur chemin à travers le monde. Une observation: si vous pensez que les vents sur terre sont mauvais, jetez un œil sur ceux qui balayent les mers.
L'océan Pacifique n'a pas l'air très pacifique. Capture d'écran / earth.nullschool.net
Autre observation: les eaux autour de l’Antarctique n’ont pas l’air très plaisantes pour naviguer.
L'Antarctique est entouré par des tourbillons associés au courant circumpolaire.
Comme le signale le Capital Weather Gang (le site météo du Washington Post), vous pouvez également utiliser la carte pour avoir une vue d'ensemble des phénomènes météorologiques qui font l’actu à travers le monde. Le Weather Gang a coordonné la carte avec la tempête de neige du Moyen-Orient et avec les vents qui ont soufflé si fort en Norvège:
Beccario m’a dit qu’il appréciait tellement la carte des vents de Viégas et de Wattenburg, que ça lui a donné envie d’apprendre à utiliser Javascript pour pouvoir faire sa propre carte. Il a posté sa méthode sur Github pour que d'autres puissent apprendre eux aussi.
Will Oremus
Traduit par Alexandra Le Seigneur

jeudi 27 février 2014

jeudi 27 février : Clint Eastwood sauve un convive de l'étouffement

http://www.leparisien.fr/actualite-people-medias/clint-eastwood-sauve-un-convive-de-l-etouffement-08-02-2014-3572631.php?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

Clint Eastwood sauve un convive de l'étouffement
Clint Eastwood, célèbre pour ses rôles de justicier au , est aussi un héros dans la vraie vie : il vient de sauver celle d'un convive qui s'étouffait lors d'une réception en Californie (ouest), en pratiquant la manoeuvre de Heimlich. Celle-ci consiste à se placer derrière la personne qui s'étouffe et compresser brusquement le creux de son estomac. 


«Clint a sauvé ma vie», a affirmé Steve John, au Carmel Pine Cone, le journal de la ville californienne de Carmel dont l' a été maire.

Lors d'une réception cette semaine à l'occasion du tournoi, l'homme discutait en mangeant quand un morceau de fromage est resté coincé dans sa gorge. «Tout d'un coup, je ne pouvais plus respirer», raconte le patron du tournoi de golf AT&T Pebble Beach National Pro-Am en Californie. «Clint est arrivé derrière moi et savait exactement quoi faire», ajoute-t-il.

L'acteur et réalisateur de 83 ans a raconté au journal comment il avait vu dans les yeux de Steve John la «panique de ceux qui se voient mourir. J'ai donné trois coups brusques, et c'est sorti. Et puis je lui ai fait boire un grand verre d'eau avec un peu de citron pressé». «L'inspecteur Harry», du nom d'un de ses plus célèbres rôles, a confessé n'avoir jamais pratiqué la manoeuvre de Heimlich, «sauf en exercice».

mercredi 26 février 2014

mercredi 26 février : à 102 ans, en vélo, 27 km en 1h !

http://www.lepoint.fr/sport/a-102-ans-il-s-attaque-au-record-de-l-heure-a-saint-quentin-en-yvelines-31-01-2014-1786660_26.php

Saint-Quentin-en-Yvelines : à 102 ans, l'incroyable record !

Le cycliste centenaire a parcouru 26,927 km en une heure sur la piste du vélodrome de Saint-Quentin-en-Yvelines, battant son propre record de la distance

Robert Marchand, 102 ans, est encore en forme olympique.
Robert Marchand, 102 ans, est encore en forme olympique. © PHILIPPE DESMAZES / AFP

Un cycliste français de 102 ans a battu vendredi son propre record de la distance parcourue à vélo en une heure, dans la catégorie des centenaires, en parcourant 26,927 km. Robert Marchand, né le 26 novembre 1911 à Amiens (Somme), avait établi un précédent record le 17 février 2012 en Suisse en parcourant 24,251 km. L'Union cycliste internationale (UCI) avait alors créé spécialement pour ce retraité hors norme la catégorie des "Masters des plus de cent ans".
Ce petit homme vif et rieur, qui vit en région parisienne, a également signé le 28 septembre 2012 à Lyon le record du centenaire le plus rapide sur 100 kilomètres à vélo en 4 heures 17 minutes et 27 secondes, soit une moyenne de plus de 23 km/h. "Je croyais faire 25 km, c'est bien", a commenté Robert Marchand après son exploit au vélodrome de Saint-Quentin-en-Yvelines, près de Paris.

"Je vais essayer de vivre encore un an, deux, trois, quatre, cinq ans"

Prié de dire si un autre record le tentait, il a répondu : "On ne fait pas des trucs comme ça tous les jours (...), je vais continuer à faire du vélo, mais je vais essayer de vivre encore un an, deux, trois, quatre, cinq ans." "Il ne faut pas en vouloir de trop dans la vie (...). On met neuf mois pour arriver au monde, on met trente secondes pour claquer !" a-t-il ajouté en présence de plusieurs dizaines de supporteurs.
Le centenaire a regretté de n'avoir "roulé seulement qu'à 90 % de ses moyens" et a attribué sa performance à sa bonne constitution physique ("Il paraît que j'ai le coeur d'un type de 50 ans) et à la pratique régulière de son sport, qu'il affectionne depuis l'enfance.
Robert Marchand avait remporté sa première course cycliste en banlieue parisienne à l'âge de 14 ans, mais jugé trop petit (il mesure aujourd'hui 1,52 m pour 51 kilos), il n'avait pu devenir professionnel. Il reprendra le cyclisme en 1937, sur piste et sur route, mais s'entraînera avec constance à partir de 1978, à l'âge de 67 ans, participant notamment à huit Bordeaux-Paris et quatre Paris-Roubaix. Veuf, ancien pompier de Paris, il a vécu en Amérique du Sud et en Amérique du Nord où il a vécu de divers métiers avant de s'établir comme maraîcher en région parisienne.

mardi 25 février 2014

mardi 25 février : il est rassurant de voir que, d'une manière ou d'une autre, les banques seront empêchées de faire de trop grosses bêtises !

http://mobile.lemonde.fr/economie/article/2014/01/29/michel-barnier-propose-une-reforme-ambitieuse-des-grandes-banques-europeennes_4356337_3234.html

L'ambitieuse réforme des grandes banques européennes de Michel Barnier

Le Monde.fr |  • Mis à jour le 
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Michel Barnier, à Bruxelles le 26 juin 2013. | GEORGES GOBET/AFP
Michel Barnier, commissaire européen au marché intérieur et aux services financiers, a présenté, mercredi 29 janvier, son projet de réforme structurelle des grandes banques européennes. Ce texte, qui ne pourra être examiné avant les élections européennes de mai, et dont l'examen se fera sous la prochaine mandature de la Commission européenne, vise à limiter le risque dans la sphère bancaire, six ans après la crise de 2008. Il cible les trente plus gros établissements bancaires de l'Union européenne, dont la faillite déstabiliserait l'économie.
  • Que contient le projet de réforme bancaire de M. Barnier ?
Le projet Barnier s'organise autour de deux mesures phares. La première vise à interdire aux banques, dès 2017, de spéculer pour leur propre compte sur les produits financiers s'échangeant sur les marchés (actions, obligations, produits financiers complexes…) ainsi que sur les matières premières.
Cette proposition est directement inspirée de la réforme américaine Volcker (du nom de son auteur, l'ancien président de la Réserve fédérale américaine de 1979 à 1987, Paul Volcker). Le négoce de produits financiers, lorsqu'il n'est exercé qu'à des fins de profit, sans lien avec les clients, est dangereux, rappelle le commissaire européen. La spéculation sur matières premières entraîne des variations de prix affectant l'économie réelle et les populations.
La deuxième mesure du projet Barnier attribue aux autorités de contrôle du secteur bancaire le « pouvoir » d'imposer le cantonnement, dans une filiale séparée, d'autres activités de marché jugées à haut risque, réalisées pour leurs clients. Ce pouvoir se transforme en « obligation » de faire si les volumes de transactions en jeu deviennent trop importants. A ce titre, la question des seuils au-delà desquels la filialisation des activités de marché risquées deviendra obligatoire sera très importante.
  • Est-ce un projet ambitieux ?
Le projet Barnier est ambitieux dans sa forme actuelle. Tel qu'il est rédigé, il obligerait en effet les grandes banques, qui sont très actives sur les marchés financiers, à cantonner dans une filiale ad hoc un nombre important d'opérations. Ces opérations incluraient le négoce de produits dérivés complexes, une large part de leurs opérations de titrisation (la titrisation consiste à transformer des créances en produits financiers, pour les revendre), mais aussi leurs fameuses activités dites de « tenue de marché » (l'ensemble des transactions financières effectuées par les banques sur les marchés pour assurer la liquidité de ceux-ci et garantir aux investisseurs que les produits achetés pourront être revendus).
C'est pour cette raison que le texte, dont les premières moutures ont très vite circulé, a été attaqué par les lobbies financiers européens. Ceux-ci ont tenté d'en amoindrir la portée jusqu'au dernier moment. Ils ont fait circuler de multiples « notes blanches », censées alerter leurs gouvernements et les services de Bruxelles sur les dangers d'un tel projet, selon eux coûteux à mettre en place, contraignant en termes de capitaux propres et de garanties à mobiliser… donc susceptible d'amoindrir leurs marges de manœuvres financières et dangereux pour le financement de l'économie.
  • Certains pays n'ont pas attendu pour réformer leurs banques. Le projet Barnier est-il compatible ? Plus ou moins sévère ?
Le projet Barnier va plus loin que la quasi-totalité des réformes entreprises à ce jour en Europe par les pays membres de l'Union européenne (Belgique, France et Allemagne), Royaume-Uni excepté. Le texte du commissaire au marché intérieur et aux services financiers irrite donc ces pays, France et Allemagne en tête, qui vont tenter de s'y opposer. Il inquiète leurs banques, qui avaient réussi à convaincre leur gouvernement respectif d'adopter des réformes légères et quasiment indolores, en donnant la priorité au renforcement de la supervision bancaire.
En votant leurs lois bancaires avant Bruxelles, France et Allemagne avaient espéré donner le la. M. Barnier contrarie donc leurs espérances.
  • Que dit par exemple la réforme française ? En quoi est-elle moins ambitieuse que le projet Barnier ? Quelles seraient les conséquences de l'adoption du texte pour les banques françaises ?
Après d'âpres débats, la France a entériné une réforme a minima de la structure des banques (loi de séparation et de régulation des activités bancaires du 26 juillet 2013), préférant accroître les pouvoirs des autorités de surveillance des banques.
La loi française impose certes aux banques de filialiser certaines activités de marché risquées, mais le champ du cantonnement est très restreint. Au point que certaines banques pourraient décider de stopper ces activités plutôt que de créer une filiale.
S'il était adopté, le projet Barnier changerait donc fondamentalement la donne. En clair, il obligerait les grandes banques françaises, en premier lieu la BNP Paribas et la Société générale, à se réorganiser en profondeur, en créant une filiale ad hoc, avec à la clé des coûts en fonds propres substantiels.
  • Quid du Royaume-Uni, qui a adopté une réforme bancaire dite Vickers ?
M. Barnier prévoit d'exempter le Royaume-Uni de sa réforme, la réforme Vickers étant en effet jugée plus sévère (elle sépare la banque de dépôts de la banque de marchés). Une exemption que la France et l'Allemagne entendent déjà contester au nom de l'égalité de traitement.
  • Quels sont les arguments de la France pour contrer le projet Barnier ?
Le camp français ne s'attendait pas à un projet aussi tranché. Il est donc mobilisé contre une réforme jugée contraire à ses intérêts, mauvaise pour ses banques et nuisible à l'économie.
Banques et politiques sont prêts à faire campagne commune pour dénoncer un « mauvais projet ». Ils espèrent ranger Bruxelles à leur position, estimant que la France est parvenue, dans sa loi, à un point d'équilibre. Le ministre de l'économie et des finances, Pierre Moscovici, a déjà fait connaître son courroux à Michel Barnier .
« Nous sommes sur une proposition dure et contraignante de la Commission européenne, regrette Karine Berger, députée socialiste des Hautes-Alpes, secrétaire nationale du PS chargée des questions économiques et ex-rapporteur de la loi de séparation des activités bancaires. Et il n'est pas normal que le Royaume-Uni bénéficie d'une exemption ! Comment imaginer un texte de régulation bancaire qui ne s'appliquerait pas à la City ? »
« Les idées qui ont été mises sur la table par Michel Barnier sont des idées, je pèse mes mots, qui sont irresponsables et contraires aux intérêts de l'Union européenne », a déclaré Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France, mercredi. Dans l'après-midi, M. Barnier rétorquait : « Je ne peux pas croire que Christian Noyer, qui est un homme compétent, ait pu faire ces déclarations en ayant pris connaissance du détail de nos propositions. » « Ce que nous faisons précisément, c'est de donner aux superviseurs le pouvoir d'imposer la filialisation de banques trop grosses pour faire faillite, trop complexes pour être résolues sans crise systémique et trop chères à sauver avec des fonds publics, lorsque ces banques prennent des risques excessifs », a-t-il expliqué.
Mardi 28 janvier, à la veille de la présentation du projet Barnier, la nouvelle directrice générale de la Fédération bancaire française, Marie-Anne Barbat-Layani, a estimé de son côté que ce texte créait « une certaine confusion » pour les banques françaises et allemandes, occupées à se conformer à leurs lois nationales.
Gérard Mestrallet, président de Paris Europlace, une association de défense de la place financière de Paris, a écrit à Michel Barnier, mardi, pour s'inquiéter d'une « menace sur la compétitivité du secteur bancaire européen et sa capacité à financer l'économie ».
De leur côté, le Medef et la Fédération des industriels allemands ont demandé à José Manuel Barroso, le président de la Commission, dans des courriers séparés, de modifier ou de reporter le projet de règlement, le temps de mener des consultations.
Par Anne Michel

lundi 24 février 2014

Lundi 24 février : 6 techniques imparables pour se faire recruter via LinkedIn !

http://fr.locita.com/digital/se-faire-recruter-grace-a-linkedin-6-techniques-imparables-124350/#sthash.U9qpXj4o.dpbs

Se faire recruter grâce à LinkedIn : 6 techniques imparables !

©Linkedin
Cela nous est tous déjà arrivé : Avoir un travail qui ne nous plaît pas, ou ne pas avoir de travail du tout. Et c’est à ce moment-là – et seulement à ce moment-là – qu’on remet notre LinkedIn à jour, désespérément. Depuis quelques années, la Toile est devenu le lieu privilégié pour la recherche d’emploi, bien plus efficace et rapide que d’aller voir son conseiller à Pôle Emploi.
LinkedIn est le réseau social professionnel par excellence, et la plateforme peut permettre de trouver un job. Mais pour cela, il faut savoir entretenir son réseau ! Voici 6 astuces de Nicole Williams, experte du sujet, pour se faire repérer par les recruteurs sur LinkedIn.

1 – Elaborez une stratégie de mots-clés

Si le SEO n’est pas votre domaine d’expertise, voici un exemple tout simple : dans LinkedIn, on peut effectuer ses recherches et trouver des personnes soit par leur nom, soit par leurs compétences et tous les mots-clés qui apparaissent dans leur profil. Voilà pourquoi ces mots-clés doivent être choisis avec soin. Dites-vous : « Quels sont les meilleurs termes à taper pour me trouver ? »
Ensuite, retravaillez ces termes et tous les termes associés (n’oubliez pas les synonymes) dans le sens d’un recrutement. Par exemple, si vous travaillez dans la rédaction web, écrivez « rédacteur web » plutôt que « rédaction web » car les recruteurs cherchent avant tout des femmes et des hommes, pas des fonctions.
Si vous effectuez correctement cette organisation, vous attirerez autant les moteurs de recherche que les recruteurs, et cela n’en sera que plus bénéfique !

2 – Souriez !

Nicole Williams affirme que les personnes qui embauchent sont « 7 fois plus susceptibles de vous embaucher si vous avez une photo de profil ». La photo vous démarque de tous les anonyme et montre une image active de vous sur le réseau.
L’idéal : la photo qui vous place dans un contexte de travail. Car « vous voulez aider les recruteurs à vous imaginer en situation professionnelle ». Si vous êtes Chef, prenez-vous en photo dans une cuisine, et devant un tableau blanc si vous êtes marketeur. En revanche, évitez la photo avec le chien sauf si vous êtes vétérinaire ! Et surtout, souriez, c’est toujours mieux pour paraître sympathique et plein d’allant.

3 – Obtenez votre url personnalisée

Attention, le premier arrivé est le premier servi ! Pour personnaliser l’url de votre profil, il vous suffit d’aller dans Profil/Profil Public/Modifier et d’y inscrire l’url de son choix. Si quelqu’un l’a déjà prise (si vous vous appelez Marie Dubois par exemple), c’est tant pis pour vous. Mais vous pouvez tenter une jolie feinte, par exemple : www.linkedin.com / in / MarieDuboisRedactrice !
Cette url personnalisée est bien pratique. L’avantage c’est que vous pouvez la mentionner sur vos documents pro type lettre de motivation et CV sans devoir mettre un lien à rallonge qui n’a aucun sens. Toujours au niveau SEO, cela permet aussi à Google de mieux vous cibler, et donc au recruteur de mieux vous trouver !
linkedin

4 – Accumuler les recommandations

Sur LinkedIn, il faut solliciter vos camarades (et aussi vos anciens collègues) pour qu’ils viennent recommander vos compétences sur votre profil. Cela permet au recruteur d’avoir une image de vous plus globale, et de comprendre en quelques coups d’œil ce que d’autres ont cru bon de mettre en avant chez vous.
Mais beaucoup plus important, il prouve que d’autres gens ont été prêts à prendre quelque minutes de leur temps pour se rendre sur votre profil et le mettre en valeur. Ces quelques clics sympathiques feront beaucoup pour votre image de marque sur LinkedIn, sans compter que cela prouvera une fois de plus que vous êtes actif et motivé.

5 – Créer des relations stratégiques

Plus vous avez de relations, plus vous ressortez haut dans les recherches, et donc plus vous avez de chances d’être vu par un recruteur. Le mieux, c’est même d’avoir dans vos connections le maximum de personnes qui partagent les mêmes compétences et centres d’intérêt professionnel que le vôtre.
Pour ajouter des personnes que vous ne connaissez pas mais dont vous appréciez le profil, approchez-les avec une phrase basique.  En demander trop peut faire peur, la simplicité ouvre plus de portes. C’est le conseil de Nicole Williams.
N’oubliez pas non plus de rentrer dans des groupes professionnels, il s’y échange parfois des offres d’emploi et les recruteurs y sont souvent nombreux.

6 – Partager et partager encore avec vos relations

« Sur LinkedIn comme sur tous les réseaux, il ne suffit pas de créer son profil, il faut s’engager activement pour exister, » assure Nicole Williams. Partagez des contenus utiles dans votre domaine de compétence, aimez les contenus des autres, interagissez avec les autres. Cela vous rend visible envers eux, mais aussi envers leurs contacts !
Si vous n’avez pas le temps de surfer sur le web à la recherche de news, LinkedIn Today vous fait une liste de nouvelles, il ne vous suffira qu’à partager celle qui vous concerne le plus. Les recruteurs aiment ça.
Cela vous demandera de l’investissement, mais votre futur emploi n’attend plus que vous !
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mardi 18 février 2014

Vendredi 21 février : la coupe des favelas, à Rio

http://www.la-croix.com/Actualite/Sport/La-Coupe-des-favelas-fait-rever-les-gamins-des-quartiers-pauvres-de-Rio-2014-02-04-1101125

La Coupe des favelas fait rêver les gamins des quartiers pauvres de Rio
Les 400 jeunes sélectionnés pour la Coupe des favelas jouent devant les chasseurs de talents des quatre plus grands clubs de Rio de Janeiro. Comme Ronaldo ou Neymar avant eux, ils rêvent de devenir joueurs professionnels.
Cette année, 95 000 jeunes ont participé aux sélections de la Coupe des favelas. À l’issue de la...
AGLAÉ DE CHALUS

Cette année, 95 000 jeunes ont participé aux sélections de la Coupe des favelas. À l’issue de la compétition, quelques entreprises de l’État de Rio proposeront un stage ou un premier emploi à certains d’entre eux.

Malgré la chaleur écrasante de ce week-end d’été austral, les jeunes joueurs de l’équipe de football de Beira Pica-Pau, une toute petite favela tout au nord de Rio, sont confiants. « Je pense qu’on peut aller jusqu’en finale », avance Luiz Henrique, 16 ans, lunettes de soleil sur le nez. Il scrute le stade derrière les barrières qui le séparent du terrain, jauni par les rayons du soleil. 
Une centaine de supporteurs soutiennent les deux équipes de filles qui s’y rencontrent. Lui jouera d’ici à une heure. Seize équipes féminines et 64 masculines, toutes représentantes d’une favela de Rio, se sont sélectionnées pour participer à la Coupe des favelas, une compétition créée en 2012 par la Cufa, principale ONG brésilienne présente dans les favelas. Ce dimanche se disputaient les quarts de finale à Bangu, un quartier populaire de la zone ouest de Rio.

« C’EST NOTRE AVENIR QU’ON JOUE SUR LE TERRAIN »

À l’échauffement, le stress monte pour les joueurs de Pica-Pau qui vont affronter aujourd’hui une favela rivale, Vila Kennedy, pour gagner leur place en demi-finale. Mais l’enjeu de la compétition va bien au-delà du titre de champion. « C’est notre avenir qu’on joue sur le terrain. » Thales, 16 ans, sait que chacun de ses mouvements est observé par les recruteurs des meilleurs clubs de la ville. 
La Coupe des favelas a noué des partenariats avec Vasco, Flamengo, Fluminense et Botafogo ainsi qu’avec le club portugais de Porto : leurs chasseurs de talents ont la priorité sur les joueurs qu’ils repèrent. « C’est mon rêve, bien sûr, de devenir professionnel, comme celui de tous les gars de la favela », confie Jonathan, 16 ans. « On a tous grandi avec une balle au pied », se souvient Luiz Henrique.

NEYMAR, ZICO, RONALDO…

Le football est le sport roi dans les favelas du Brésil. Neymar, Zico, Ronaldo, Romario… Ces grands joueurs brésiliens, originaires des quartiers les plus pauvres des grandes capitales du pays, nourrissent les rêves des joueurs de Pica-Pau. « Mon prof de foot m’a appelé pour que je participe aux entraînements du club de São Cristovão (petit club de Rio), se réjouit Maycom, 16 ans. J’aimerais bien signer avec eux, c’est là que Ronaldo a commencé sa carrière. » 

FORMER DES CITOYENS, AU-DELÀ DU FOOTBALL

Depuis la première édition de la Coupe des favelas, en 2012, soixante sont devenus professionnels, dont un parmi les juniors du FC Barcelone. « C’est à la fois beaucoup et très peu comparé aux 95 000 jeunes qui ont participé aux sélections pour la Coupe rien que cette année », relativise Celso Athayde, fondateur de la Cufa et créateur de la Coupe des favelas. Il a mis en place un partenariat avec la fédération des industries de Rio de Janeiro : à l’issue de la compétition, quelques entreprises de l’État de Rio proposeront un stage ou un premier emploi à ces jeunes. « On cherche à les former en tant que citoyen, au-delà du football. » 
S’ils ne deviennent pas joueurs professionnels, Thales sera médecin et Maycom ingénieur, « pour créer des immeubles plus sûrs pour les habitants de la favela ». En attendant le coup de fil tant attendu d’un éventuel recruteur, ils ne savent pas encore lequel de ces deux rêves se réalisera.

Jeudi 20 février : L'open space est mort, vive l'open space cloisonné

http://www.huffingtonpost.fr/sylvia-di-pasquale/open-space-travail_b_4673522.html?ncid=edlinkusaolp00000003&ir=France

L'open space est mort, vive l'open space cloisonné

VIE PROFESSIONNELLE - Leur avis est important. Car ils seront cadres dans peu de temps. Alors, quand on demande à 500 élèves de l'Essec de dessiner leur "bureau de demain", mieux vaut regarder de près. Évidemment, ce ne sont pas des petits dessins mais plutôt les grands desseins que les futurs cols blancs ont esquissé à grands traits dans ce sondage réalisé par la chaire "Immobilier et développement durable" de l'institution.
Ce qui surprend à la lecture des réponses fournies, c'est leur pragmatisme. Travailler dans un hôtel particulier ? Nos brillants étudiants ne sont que 15% à le souhaiter. Un atelier d'artiste ? 23% seulement. Peut-être souhaitent-ils tous travailler dans un bon vieux siège social tout en verre ? Le rejet pour ce genre de décor est quasi unanime. Le bureau classique où le manager est seul maître à bord ? C'est non pour 93% d'entre eux. Mais alors, dans quel type de bureau rêvent-ils de passer leurs journées de boulot ? Dans un bureau fermé mais partagé, pour 50% d'entre eux.
En fait, si ce sondage enterre l'open space version XXL (seulement 23% des interrogés souhaiteraient y bosser), il confirme l'envie d'un espace de travail collaboratif façon start-up. Un open space, d'accord, mais cloisonné, pour rester vivable. Un espace plus feutré que ces grands halls de gare, et où des équipes multidisciplinaires peuvent même travailler en mode projet. Autre enseignement de taille de ce petit sondage : le télétravail et le coworking sont plébiscités. Bosser à la maison ou dans un endroit dédié hors du bureau, est une revendication pour 55 et 54% des répondants.
Évidemment, les dirigeants d'entreprises et leurs DRH peuvent regarder ces chiffres de très haut. Se dire que la génération digitale n'a qu'à s'adapter aux bureaux à la papa. Sauf que 40% des étudiants de l'Essec expliquent que l'espace de travail est déterminant dans le choix de leur futur employeur. Peut-être que ces boites peuvent se passer aisément de tous ces futurs managers. Peut-être peuvent-elles se contenter de conserver leurs open space inadaptés à l'envie "de bosser ensemble" sans se gêner les uns les autres. Avec le risque que, dans quelques années, ils résonneront d'un écho de cathédrale, vidée de ses ouailles.
Billet également publié sur CadreEmploi.fr

Mercredi 19 février : Une prothèse de main qui rend le sens du toucher

http://mobile.lepoint.fr/innovation/video-une-prothese-de-main-qui-rend-le-sens-du-toucher-07-02-2014-1789374_1928.php

Le Point.fr - Publié le  

VIDÉO. Une prothèse de main qui rend le sens du toucher

Une équipe européenne vient de tester, avec succès, une main mécanique dotée de sensibilité sur un patient ayant perdu un bras. Explications.

Dans le cadre d'un premier essai thérapeutique, Dennis Aabo Sorensen, amputé depuis neuf ans, s'est prêté à toute une batterie de tests pour évaluer les performances de la prothèse.
Dans le cadre d'un premier essai thérapeutique, Dennis Aabo Sorensen, amputé depuis neuf ans, s'est prêté à toute une batterie de tests pour évaluer les performances de la prothèse. Lifehand 2, Patrizia Tocci
"J'ai pu ressentir des sensations que je n'avais plus ressenties depuis neuf ans", affirme, enthousiaste, Dennis Aabo Sorensen. Le Danois de 36 ans, amputé du bras gauche il y a neuf ans après avoir manipulé des feux d'artifice, vient de tester avec succès la première prothèse de main capable de restituer, en temps réel, la sensation du toucher. Une aptitude à sentir la forme et la consistance des objets loin d'être de pur confort puisqu'elle conditionne très largement leur manipulation. Imaginez que vous saisissiez de la même façon une pêche bien mûre et une pomme, que se passerait-il ? Ainsi les prothèses actuelles obligent-elles les patients à toujours regarder très attentivement ce qu'ils font pour tenter d'ajuster, autant que faire se peut, la pression exercée par leur prothèse sur les objets.

C'est à l'hôpital Gemelli de Rome (Italie), en janvier 2013, que l'essai clinique a été mené dans le cadre d'un projet européen baptisé LifeHand2, associant des chercheurs italiens, suisses et allemands. Sous la direction de la neurologue Paola Maria Rossini, quatre très fines électrodes, mises au point par l'équipe de Thomas Stieglitz de l'université allemande de Fribourg, ont été implantées dans le moignon du patient, sous la peau, au niveau des nerfs périphériques du bras, cubital et médian. Leur fonction : transmettre les informations de la prothèse vers le système nerveux jusqu'au cerveau du patient et, bien sûr, inversement.
Trois semaines et quelques réglages plus tard, Dennis Aabo Sorensen était équipé de l'innovante prothèse dotée d'un système sensoriel artificiel. Développé par l'équipe de Silvestro Micera, de l'école supérieure Sant'Anna de Pise (Italie), également responsable du laboratoire suisse d'ingénierie neurale translationnelle de l'école polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), le dispositif repose sur des capteurs capables de réagir à la tension des tendons artificiels de la main mécanique. Des informations transmises sous la forme de signaux électriques puis converties, via un algorithme, en impulsions nerveuses déchiffrables par le cerveau du patient.

Une habileté améliorée
Pendant une semaine, Dennis Aabo Sorensen et les équipes du projet LifeHand2 ont testé ensemble le système. Leur crainte principale était qu'après neuf ans d'inactivité les nerfs de Dennis aient perdu de leur sensibilité. Mais il n'en est rien. "Quel moment excitant lorsqu'après des heures interminables de tests Dennis s'est tourné vers nous et a déclaré, incrédule : C'est magique ! Je peux sentir ma main artificielle se fermer !" raconte Stanislas Raspopovic, un des membres de LifeHand2. "Lorsque je soulevais un objet, je pouvais sentir s'il était doux, dur, rond ou carré", rapporte le patient, plein d'espoirs, même si, conformément à la législation européenne en matière d'essais thérapeutiques, sa prothèse a dû lui être rapidement retirée. Un masque sur les yeux et un casque bien isolant sur les oreilles, Dennis s'est prêté à toute une batterie de tests. Résultats : d'une part, il était capable de définir relativement précisément les objets qui lui étaient présentés et, d'autre part, il parvenait, avec une dextérité grandissant au fil des expériences, à adapter la pression de sa prothèse en fonction de ces objets. Une petite révolution !

Bien sûr, la commercialisation de cette nouvelle prothèse n'est pas encore pour demain, mais les chercheurs ont tout de même l'espoir d'y parvenir d'ici cinq à quinze ans. Avant cela, il faudra procéder à de nouveaux essais comme celui-ci, sur différents profils de patients et sur une durée plus longue. Car il faut voir comment les électrodes, et surtout les nerfs ainsi implantés, vont se comporter dans le temps. Par ailleurs, les porteurs du projet ont aussi l'ambition de parvenir à miniaturiser le dispositif jusqu'à pouvoir le dissimuler totalement sous la peau des patients. 

en vidéo : http://bcove.me/b29m6ofl 

dimanche 16 février 2014

Mardi 18 février : 5 solutions en ligne gratuites de tableaux de bord virtuels collaboratifs

http://www.netpublic.fr/2012/06/5-solutions-en-ligne-gratuites-de-tableaux-de-bord-virtuels-collaboratifs/

5 solutions en ligne gratuites de tableaux de bord virtuels collaboratifs

scrumblrOutil en ligne libre (sous licence GNU-GPL), Scrumblr est un service Web gratuit qui permet de créer un tableau de bord collaboratif sous la forme d’autocollants à annoter de différentes couleurs. Scrumblr est immédiatement utilisable, sans inscription avec une facilité d’utilisation qui peut recouvrir des prises de note, de la gestion de projet, du remue-méninges (brainstorming), des dispositifs pédagogiques… Les avancées du développement du projet logiciel Scrumblr peuvent être consultées à cette adresse.

Comment utiliser Scrumblr

Pour créer un tableau collaboratif Scrumblr, il suffit de se rendre à l’adresse http://scrumblr.ca, de donner nom original à son tableau (par exemple « nomdutableau ») puis de se rendre à l’URL comportant ce nom (par exemple « http://scrumblr.ca/nomdutableau »). La page collaborative est alors générée automatiquement. Le + en bas de page à gauche permet de créer des notes éditables (par double-clic sur le Post-It) à inclure ensuite dans le tableau par un simple glisser-déposer. Sur le côté droit du tableau en cliquant sur le +, on peut ajouter des colonnes et ainsi organiser ses notes.
La liste des collaborateurs pour un Scrumblr s’affiche en bas de page. Chacun des participants au tableau de bord (que l’on peut agrandir ou rétrécir à souhait comme les notes) se voit affecter une couleur pour ces autocollants à annoter. Seul point faible de cette application basique mais utile : l’impossibilité de sauvegarder le tableau de bord construit si ce n’est via une capture d’écran.

4 autres solutions en ligne gratuites de tableaux de bord virtuels collaboratifs

Il existe des alternatives gratuites et en ligne à Scrumblr notamment WallWisher (mur virtuel, tableau à partager),ListThings (tableau de bord partageable qui possède une extension pour Google Chrome) ou encore GroupZap (qui a la particularité de pouvoir également déposer des fichiers sur le tableau, avec 100 Mb de stockage gratuit) etCorkboard (tableau de liège virtuel accessible en mode collaboratif via l’URL générée automatiquement).

Lundi 17 février : Employés heureux : 10 choses que les personnes productives font différemment, complété par : Pour être plus productif, identifiez d'abord votre personnalité

http://www.huffingtonpost.fr/2014/02/06/employes-heureux-personnes-productives_n_4735497.html?&ir=France

Employés heureux : 10 choses que les personnes productives font différemment

VIE DE BUREAU - Ils font toujours leur travail à temps, sont les meilleurs amis de tout le monde au bureau et ont en permanence le sourire aux lèvres, même un lundi matin. Ils sont les employés productifs, et il existe des façons simples d'être comme eux.
"Mon conseil serait d'écouter et comprendre son lieu de travail avant de tirer des conclusions", déclare Hesham Shafie, président de la société Brand Momentum, basée à Toronto.
Selon Hesham Shafie, les employés productifs sont extrêmement ouverts d'esprit et s'adaptent aux changements sur leur lieu de travail. Et même s'ils semblent ne pas s'inquiéter, ils passent aussi beaucoup de temps à définir leurs objectifs.
Voici dans ce diaporama 10 choses qui démarquent les employés productifs des autres employés, selon Hesham Shafie.
1-Ils sont ouverts à la critique
Tout le monde n'est pas prêt à accepter la critique. Que vous soyez nouveau ou ancien dans votre société, la critique est toujours importante.
2-Ils écoutent... attentivement
Les employés productifs ont le don de retenir les détails. Ils écoutent les opinions et suggestions des autres.
3-Ils prennent des notes
Les employés productifs aiment prendre des notes. Les gens utilisant des penses-bêtes ou agendas ont plus de facilités à suivre le rythme.

4-Ils ne se laissent pas distraire
Les employés productifs tâchent d'éviter les distractions en laissant de côté les courriels ou leur téléphone lorsque le temps presse.
5-Ils sont souvent joyeux
La plupart des employés productifs sont heureux d'aller travailler.
6-Ils traitent leurs collègues comme des membres de leur famille
Ils ne se contentent pas de parler de travail, ils trouvent aussi du temps pour leurs collègues après le travail. C'est une bonne manière de construire des relations fortes, basées sur la confiance

7-Ils savent quand demander de l'aide
Non seulement ils savent demander de l'aide, mais ils savent aussi donner des conseils aux autres si besoin.
8-Ils restent en bonne santé
En plus de travailler dans un environnement professionnel positif, les employés productifs font aussi en sorte de rester en bonne santé.
9-Ils prennent le temps de réfléchir
Les employés productifs prennent le temps de réfléchir à leurs objectifs. Notez vos objectifs à court terme, gardez trace de vos progrès et soulignez les succès que vous avez connus dans le mois.
10-Et oui, ils s'amusent
Le bureau, ce n'est pas seulement travail, travail, travail. Les employés productifs trouvent aussi le temps de s'amuser, faire la fête et passer du temps avec leurs collègues.

Complété par :
http://www.huffingtonpost.fr/2014/02/17/pour-etre-plus-productif-identifiez-votre-productivite_n_4801674.html?&ir=France

Pour être plus productif, identifiez d'abord votre personnalité

Le HuffPost  |  Par Stanislas Kraland

VIE DE BUREAU - Vous n'arrivez pas au bout de tout ce que vous avez à faire? Vous êtes peut-être l'une des victimes collatérales du manque d'effectif dénoncé par 46% des DRH français lors d'une enquête réalisée par Robert Half, leader mondial du recrutement spécialisé.
Mais d'ici à ce que votre entreprise embauche, il faut faire avec. La tentation est alors grande de vouloir maximiser sa productivité, louable intention à un détail près: la productivité c'est comme les bonnes résolutions, il ne suffit pas d'en prendre, encore faut-il s'y tenir. Et comme le remarque la consultante Geil Browning dans un billet publié par Inc.com, il est aisé de se tromper de combat.
Lire aussi:
» 10 erreurs de français à ne pas commettre dans une lettre de motivation
» Pourquoi j'ai quitté mon job chez Apple
Exemple: vous avez pris la résolution d'aller courir plus souvent. Après tout, les gens minces courent, par conséquent, pour être plus mince, je prends la décision de courir. Seulement voilà, un mois après le réveillon, vous ne vous y êtes toujours pas mis. Pourquoi? Tout simplement parce que courir n'est peut-être pas fait pour vous.
En matière de productivité au travail, c'est donc la même chose. S'il est tentant de s'accrocher à sa to-do list comme le fait votre collègue, là encore, nous ne sommes pas tous pareils et ce qui marche pour l'un ne fonctionnera pas nécessairement pour l'autre. La preuve, au cours de sa carrière, Geil Browning, a identifié quatre types de travailleurs, qui sont autant de manières d'être productifs:
Le structurel: c'est celui qui prépare chaque matin sa "to do list". Au fur et à mesure que sa journée avance, il coche les tâches qu'il a effectuées. Si tout est coché à la fin de la journée, il a été productif. Lorsqu'un projet arrive entre ses mains, le travailleur structurel crée un rétro-planning.
L'analytique: son travail consiste à créer de la valeur et à rendre plus profitable son temps. Qu'il s'agisse de faire un voyage d'affaire, de prendre une décision importante ou d'organiser une réunion importante, tout doit faire sens dans sa vision du travail.
Le social: il se sert de son talent relationnel pour inviter les autres à rester productif. Il organise régulièrement des réunions avec ses collègues, les invite à prendre ouvertement la parole sur les dossiers en cours et déjeune fréquemment avec ses collègues pour parler des progrès effectués. Sa to-do list, s'il en a une, est hebdomadaire, mais sa productivité demeure nourrie par ses relations sociales.
Le conceptuel: pour le conceptuel, pas de "to-do list", seulement du doing (en train d'être fait) et du done (est fait). Le conceptuel reçoit un email ou un coup de téléphone? Il n'attend pas et passe à l'action. Une fois que c'est fait, il passe à autre chose. Il ou elle a une nouvelle idée? Inutile d'attendre, il n'attend pas davantage pour la mettre en route, au risque que quelque chose perturbe le processus.
Pour perdre du poids, certains font du jogging et d'autres quelque chose de totalement différent. En matière de productivité, c'est la même chose. Comme le résume la consultante: "quel que soit votre style, acceptez-le qu'il implique une to-do list ou non". À chacun sa manière de faire en fonction de sa personnalité et de sa flexibilité.
Et vous, comment faites-vous pour rester productif? N'hésitez pas à nous faire part de votre expérience dans les commentaires.