mardi 25 novembre 2014

vendredi 21 novembre 2014

jeudi 27 novembre : Ces Français qui relancent l'industrie à la française

http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/ces-francais-qui-relancent-l-industrie-a-la-francaise_1616974.html

Ces Français qui relancent l'industrie à la française


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mercredi 26 novembre : Les 35 plus belles photos du concours National Geographic 2014 vont vous en mettre plein la vue

http://www.minutebuzz.com/culture--les-35-plus-belles-photos-du-concours-national-geographic-2014-vont-vous-en-mettre-plein-la-vue/1/

Les 35 plus belles photos du concours National Geographic 2014 vont vous en mettre plein la vue


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mardi 25 novembre : Paris 2025, une Exposition Universelle pour vaincre le pessimisme français

http://m.la-croix.com/Actualite/France/Paris-2025-une-Exposition-universelle-pour-vaincre-le-pessimisme-francais-2014-10-29-1256480

Paris 2025, une Exposition Universelle pour vaincre le pessimisme français


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lundi 24 novembre : Les cristaux, beaux compagnons de l’humanité

http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2014/10/26/les-cristaux-beaux-compagnons-de-lhumanite/

Les cristaux, beaux compagnons de l’humanité


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dimanche 23 novembre : Dix astuces pour laisser son stress au bureau

http://m.lentreprise.com/rh-management/efficacite-personnelle/dix-astuces-pour-laisser-son-stress-au-bureau_1524923.html

Dix astuces pour laisser son stress au bureau

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samedi 22 novembre : quand votre travail vous empêche de dormir, il y a des solutions !

http://m.lentreprise.com/rh-management/efficacite-personnelle/mon-travail-m-empeche-de-dormir_1521362.html

et

http://m.lentreprise.com/rh-management/efficacite-personnelle/comment-vivre-avec-un-accro-au-travail_1615170.html

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mercredi 19 novembre 2014

vendredi 21 novembre : World Architecture Festival: découvrez 33 bâtiments innovants

http://www.huffingtonpost.fr/2014/10/15/world-architecture-festival-33-batiments-innovation-2014_n_5989084.html

World Architecture Festival: découvrez 33 bâtiments innovants

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jeudi 20 novembre : La fin des aides au mérite pour les étudiants ? Non, dit le Conseil d'Etat

http://mobile.lemonde.fr/societe/article/2014/10/17/la-fin-des-aides-au-merite-pour-les-etudiants-non-dit-le-conseil-d-etat_4508013_3224.html

La fin des aides au mérite pour les étudiants ? Non, dit le Conseil d'Etat

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mercredi 19 novembre : L'esprit du lac Vänern (Suède)

http://www.ilpiccolomondodipippo.com/lesprit-du-lac-vanern/#jp-carousel-12377

L’esprit du lac Vänern


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mardi 18 novembre : Fondation Louis Vuitton: Le musée grandiose du bois de Boulogne

http://m.20minutes.fr/culture/1463639-fondation-louis-vuitton-musee-grandiose-bois-boulogne

Fondation Louis Vuitton: Le musée grandiose du bois de Boulogne

CAU ANTOINE/SIPA
La Fondation Louis Vuitton ouvre le 27 octobre 2014.

ART CONTEMPORAIN - L'édifice aux douze voiles de verre imaginé par Frank Gehry a été inauguré vendredi au nord du Bois de Boulogne, quelques jours avant son ouverture au public le 27 octobre… 

Le vaisseau de la Fondation Louis Vuitton attend ses premiers visiteurs. Par la démesure du projet architectural, l'édifice signé Frank Gehry reçoit tous les superlatifs. Serait-ce le futur plus beau musée de France? «Du monde», même, disent les plus enthousiastes. 

Paris a son Bilbao

C’est quand il est affronté de face que le surnom de vaisseau lui va le mieux. Constitué de douze immenses voiles de verre qu’on croirait gonflées par le vent, le bâtiment, masse d’acier à l’allure étrangement légère, aérienne, s'élève sur un parterre d'eau qui se déverse en escalier à ses pieds. 
Quarante-six mètres de haut, 150 mètres de long, 11.000m2, et cinq ans de travaux et d'innovation -trente brevets ont été déposés, un cas inédit- pour un projet né en 2001, quand le président de LVMH Bernard Arnault découvre avec fascination le musée Guggenheim de Bilbao, l’une des œuvres les plus spectaculaires de l’Américain Frank Gehry. L’architecte se voit confier la construction d’un édifice voulu comme la prolongation de la politique de mécénat du groupe, à deux pas du Jardin d’Acclamation, au nord du Bois de Boulogne. 
La Fondation vue de face. Crédit: A.Laurent
Quand Frank Gehry visite le jardin en 2002, il a «les larmes aux yeux», racontait-il vendredi, à la pensée des «souvenirs dont il est rempli». Il «imagine Proust déambulant au XIXe siècle» et décide de s’inspirer de la tradition des architectures en verre comme celle du Grand Palais.
De l’intérieur, l’apparence liquide, presque laiteuse des 3.800 panneaux sérigraphiés surprend. On découvre à travers eux la vue sur le bois, la Défense, la Tour Eiffel, alors qu’on arpente les escaliers qui nous mènent d’un niveau à l’autre, sur le parcours des onze galeries, jusqu’aux trois terrasses. C’est sans doute là, au sommet du navire, entre les voiles soutenues par les poutres d’acier et de bois, que le spectacle est le plus saisissant. Qu’on se dit que les Parisiens ont de la chance. 

Un premier accrochage restreint 

Mais qu’y verra-t-on, dans ce musée? Pour l’instant, le parcours se veut «centré sur la découverte de l’architecture de Frank Gehry», a expliqué la directrice artistique Suzanne Pagé. Avec, au premier niveau, l'exposition des maquettes: il en a fallu une soixantaine avant la modélisation 3D. On découvre la fascination transformation du bâtiment dans l’esprit de son architecte, mais en se passant d'explication: les esprits ingénieurs seront déçus. Les réponses sont dans l'exposition du Centre Pompidou dont celle-ci se veut complémentaire. 
Dans les onze galeries, chacune dotée d’une ouverture - celle de la galerie 10 lui vaut le surnom de «chapelle» - la sélection est pour l’instant restreinte: l'inauguration se veut en trois temps jusqu'en septembre. Le premier accrochage réunit jusqu'au 21 novembre Christian Boltanksi, Pierre Huyghe, Bertrand Lavier, Gerhard Richter et Thomas Schütte. S'y ajoutent sept œuvres déjà conçues pour le lieu, parmi lesquelles des toiles monochromes d’Ellsworth Kelly pour l’auditorium de 400 sièges situé à l’avant et une construction en miroirs d’Olafur Eliasson, en rez-de-bassin. 
Alors, plus beau musée de France? Les férus d'art contemporain en jugeront dans les mois qui viennent. Mais le public sera bien plus large: la fondation table sur plus de 700.000 entrées (à 14 euros en plein tarif) par an. Comme au Guggenheim de Bilbao, on viendra d'abord pour se perdre dans les escaliers et les galeries de cet envoûtant chaos contrôlé propre à Frank Gehry. 
Vue sur La Défense depuis la terrasse centrale. Crédit: A.Laurent. 
Annabelle Laurent
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lundi 17 novembre : Etre ou avoir ? Pour une économie de services

http://mobile.lemonde.fr/idees/article/2014/10/16/etre-ou-avoir-pour-une-economie-de-services_4507417_3232.html

Etre ou avoir ? Pour une économie de services

Le recyclage des batteries au plomb constitue la première source de pollution industrielle dans le monde. | AFP/ARMEND NIMANI

Une bonne partie de notre économie est fondée sur le cercle vicieux qu’est l’acquisition, l’obsolescence et la réacquisition d’objets. Pour contrebalancer le besoin inné de posséder, un cercle plus vertueux devient impératif, avec des services moins délétères pour l’environnement, les ressources et le climat.

Axer une société sur la possession fait que la responsabilité du devenir des produits de consommation passe du producteur à l’acheteur. Ce dernier n’aura pas d’autre choix que de s’en défaire comme il peut, après usage ; d’où un gaspillage et une accumulation de déchets.
Une économie fondée sur les services aurait l’avantage de la durabilité et de la « réparabilité » des produits. En effet, un prestataire de service a tout intérêt à allonger la durée de vie d’une marchandise, surtout s’il a la responsabilité de son recyclage.
En séparant la possession de l’utilisation, on peut également rechercher un gain d’efficacité : rappelons que la voiture d’un particulier, par exemple, n’est utilisée que 5 % de son temps ; le parc automobile est donc démesuré par rapport à son utilité réelle. Se déplacer peut parfaitement se concevoir au travers d’un service.

DISPOSER DE L’USAGE DES CHOSES SANS DEVOIR LES POSSÉDER

Les futurs véhicules autonomes (sans chauffeur) ouvrent la voie à une révolution des mœurs, si l’on considère une utilisation mutualisée et à la carte, comme pour un abonnement de bus. Cela voudra dire moins de véhicules, mais la diminution de la production – qui s’automatise de plus en plus – pourrait paradoxalement engendrer plus de créations d’emplois pour la maintenance, la réparation, la mise à jour, le suivi, le recyclage et la personnalisation des offres de service ; à condition que ces aspects soient prévus dans la conception des produits.
Le Saint-Graal serait la substitution physique d’objets par un service. Dans des domaines à forte innovation, comme les technologies de l’information et de la communication, les services (en ligne) ont déjà pris le dessus sur les supports. C’est le cas pour les livres, la musique ou les films.
Disposer de l’usage des choses sans devoir les posséder a ainsi désengorgé nos étagères du disque vinyle, puis digital en une génération. La dématérialisation va plus loin encore, en intégrant dans les smartphones et tablettes des services remplaçant le téléphone fixe, le répondeur, le réveil, la montre, la radio, l’appareil photo, les jeux et bientôt l’ordinateur et la télévision en projection rétinienne.
On paie donc un ensemble de services, et non plus une multitude d’objets, qui étaient de surcroît vite obsolescents. La perte des affects et attachements à ces objets est compensée par des gains comme l’optimisation des coûts, du temps et de l’espace (les objets étant encombrants).

POTENTIEL CROISSANT

Qu’il en soit de même pour les voitures est souhaitable, mais sera plus difficile, car acheter un véhicule, c’est souvent acquérir aussi un statut social. L’e-commerce, la réalité virtuelle et l’holographie vont toutefois diminuer le besoin physique de se déplacer.
Le pas à faire est de se convaincre qu’un service est plus avantageux et peut mieux répondre à un besoin que la possession d’un produit. L’engouement pour les vélos et les voitures électriques en libre-service montre que cela est possible. De toute façon, sans en être conscient, quand on acquiert un objet onéreux, comme une voiture, on fait déjà appel à un service, par le biais d’un emprunt ; et dans ce cas, in fine, le produit ne nous appartient réellement que quand il est déjà obsolète.
Le potentiel du marché des services est croissant car les mentalités commencent à changer, pour la nouvelle génération en tout cas. Les personnes âgées sont aussi une cible de prédilection pour des raisons évidentes ; elles ne désirent plus acquérir mais profiter du temps restant.
En Europe, au moins une personne sur 10 aura 80 ans ou plus d’ici à 2050. La solvabilité bancaire et le moindre pouvoir d’achat des jeunes et des futurs seniors est une raison supplémentaire pour passer de l’acquisition au service. De plus, louer un service sera perçu comme moins risqué qu’une acquisition pour le lancement de produits innovants, comme un robot assistant personnel pour personne dépendante, par exemple.

DÉPLACER LES TAXES

Les secteurs où l’acquisition peut être remplacée par un service sont légion. Beaucoup de ménages hésitent encore à investir dans les énergies nouvelles : pourquoi ne pas simplement louer les panneaux photovoltaïques, voire un service qui combine les formes d’énergie les mieux adaptées (mini-éolienne, géothermie…). Cela peut aussi être le cas pour l’électroménager, ou pour les imprimantes 3D.
Nos modèles économiques sont à revoir, en favorisant la créativité, et non la consommation. Et pour ne pas déplacer le problème de la possession et des déchets vers les prestataires de services – qui pourraient alors devenir des promoteurs abusifs de services – les pouvoirs publics doivent rééquilibrer le marché en déplaçant les taxes. On pourrait ainsi augmenter la TVA sur les biens et la diminuer, en compensation, sur les services correspondants.
Cette taxe aurait ainsi une composante de TVA verte, modulable suivant la « performance écologique » des prestataires de services ; une sorte de taxe sur la « non-valeur ajoutée », qui permettrait d’intégrer des externalités. C’est parce que l’écosystème de notre planète est gratuit que nous en abusons.
Une économie fondée sur le partage des services, et non sur le consumérisme égocentrique, est plus qu’une mode ou un nouveau modèle économique, c’est une éthique. Le choix entre posséder et partager n’est d’ailleurs pas nouveau. Pour paraphraser Aristote, la vraie richesse est dans l’usage que l’on fait des choses, plus que dans leur possession. La vraie liberté est d’être, et non pas d’avoir (les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement la position de la Commission européenne).
Par Didier Schmitt (Conseiller scientifique auprès du Président de la Commission européenne)
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dimanche 16 novembre : Les Français à l’honneur au salon du jeu de société d’Essen

http://vidberg.blog.lemonde.fr/2014/10/20/les-francais-a-lhonneur-au-salon-du-jeu-de-societe-dessen/

Les Français à l’honneur au salon du jeu de société d’Essen

Le salon d'Essen vient tout juste de fermer ses portes. Comme chaque année en octobre depuis 32 ans, cette ville de la Ruhr devient la capitale du monde ludique en réunissant la plupart de ses acteurs (auteurs, éditeurs, joueurs) pour une immense foire de 58 000 m² consacrée aux jeux de société.
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Sans-titre-2À deux mois des fêtes de Noël, les éditeurs profitent de l'événement pour mettre en avant leurs nouveautés.
Cette année, ce sont 832 exposants de 41 pays qui ont présenté plus de 850 nouveaux jeux. C'est beaucoup. Beaucoup trop pour un public de plus en plus nombreux mais qui doit désormais faire des choix et se reporte souvent autour des mêmes boîtes qui "font le buzz".
Il y a quelques années, un amateur éclairé pouvait acheter tous les jeux qui correspondaient à ses goûts. Aujourd'hui, repartir du salon avec les perles rares est un défi à part entière : le visiteur doit faire le tri, tester les jeux, écouter la rumeur avec l'espoir de ne surtout pas rater LE jeu du salon que tout le monde s'arrache et qui se retrouvera très vite en rupture.
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On trouve des jeux pour tout type de joueurs à Essen, y compris des jeux à boire.
En 2014, les éditeurs francophones ont de nouveau joué les premiers rôles en présentant quelques uns des plus gros succès d'estime et probablement les jeux les plus esthétiques du salon. L'illustration et le graphisme sont devenus des critères prépondérant pour le public.
Est-ce qu'il faut y voir une "French touch", les éditeurs français l'ont bien compris et force est de constater que ce n'est pas forcément le cas pour tous les autres pays.
Le stand des français de Funforge réunissait quelques uns des plus beaux jeux du salon
Le stand des français de Funforge réunissait quelques uns des plus beaux jeux du salon
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Dans Lift it, l'une des curiosité du salon, les joueurs doivent bâtir des édifices avec une grue accrochée sur la tête.
On trouve vraiment des jeux sur tout et n'importe quoi à Essen
On trouve vraiment des jeux sur tout et n'importe quoi à Essen
Depuis quelques années, l'une des tendances est l'éclosion de jeux "minimalistes" qui se jouent très rapidement et qui exploitent un matériel simple (une poignée de jetons, une vingtaine de cartes dans une petite boîte).
De nombreux jeux répondaient  au cahier des charges et dans les allées, quelques éditeurs encourageaient les auteurs à se prêter à l'exercice de style.  Ces jeux sont très simples à produire, vendus à bas prix et s'adressent à un public potentiellement large qui n'hésite pas à les acheter "à l'aveugle".
Malheureusement, si je ne doute pas que de nouvelles perles paraîtront dans les prochaines années, on arrive un peu à l'overdose et la plupart de ces jeux manquent de profondeur et d'intérêt. Je n'en ai pas trouvé peu d'aussi convaincants que les années précédentes, la meilleure note revenant sans doute à l'éditeur français Ferti avec Vérone, un petit jeu de 19 cartes particulièrement élégant grâce aux très très belles illustrations de Matthieu Leyssenne.
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41 nations étaient représentées sur le salon. Y compris les japonais de Japon brand, spécialistes des jeux minimalistes.
On ne trouvait pas que des jeux à Essen. Les tables luxueuses des français de Legacy game Home design ont fait forte impression !
Une autre tendance forte du salon est l'utilisation des nouvelles technologies et notamment des smartphones au sein des traditionnels jeux de plateau. 2 jeux ont marqué les esprits : le premier n'était pas en vente mais uniquement présenté sur le salon. Il s'agit de World of Yo-Ho qui sera édité par les français des Volumiques et dont le financement participatif sera bientôt lancé sur Kickstarter. Dans ce jeu de pirates, les joueurs utilisent leurs smartphones en remplacement des pions traditionnels sur un plateau de jeu bien réel. L'appareil gère les ressources, les affrontements et permet d'éviter les erreurs de règles. Si quelques visiteurs s'inquiétaient de la disparition du carton et des dés, de l'avis des créateurs, il ne s'agit pas de créer un jeu vidéo mais d'enrichir techniquement l'expérience d'un jeu de plateau qui réunira toujours les joueurs autour d'une même table.
Je n'ai pas pu tester World of Yo-Ho sur le salon mais je suis très curieux d'y jouer.
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Sur le stand de l'éditeur tchèque CGE, Alchimist a également rencontré un joli succès.
Les joueurs y incarnent des magiciens qui mélangent des ingrédients pour créer des potions fabuleuses. À chaque partie, les combinaisons de potions changent, le but du jeu étant d'identifier quels ingrédients vont permettre de réaliser quelles potions à la manière d'un Mastermind (très) évolué.
Il y a deux manières de jouer à ce jeu : soit avec un joueur qui connait au début de la partie toutes les combinaisons et qui indiquera à chaque fois, sans prendre part au jeu, le résultat des expériences des autres joueurs. La seconde solution, plus simple et qui permet à tout le monde de jouer, est d'utiliser une application de smartphone qui se charge de donner les résultats.
L'utilisation du smartphone facilite ici un mécanisme innovant dans un jeu de plateau bien réel qui n'a rien d'un jeu vidéo. Alchimist a remporté un gros succès sur le salon et sera édité en France par Iello.
Les joueurs d'Alchimist scannent les cartes du jeu avec leur smartphone pour faire apparaître une potion
Les joueurs d'Alchimist scannent les cartes du jeu avec leur smartphone pour faire apparaître une potion
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Sébastien Dujardin se réjouissant du succès de Deus, dont le tirage a été épuisé dès le deuxième jour
Deux classements permettent de centraliser les retours des joueurs pour tenter de saisir les "buzz" du salon : le geekbuzz réalisé par le site Board game geek et le classementFairplay. Parmi les gros succès du salon je citeraiDeus de l'éditeur belge Pearl Games qui comme chaque année produit un unique jeu élégant à la mécanique particulièrement soignée.
Il réalise l'exploit de figurer dans le top 5 des deux classements.
Parmi les jeux qui figurent dans le top 12 de ces classements, on notera plusieurs jeux français : Abyss de Bruno Cathala et Charles Chevalier,Five tribes toujours de Bruno Cathala qui réalise là un doublé inédit et Colt express des Ludonautes.
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Les français de Days of wonder avaient vu les choses en grand avec plus de 30 tables de leur nouveau hit Five tribes
img-4bd4ec1128bddab1928ab8e98ac0096caa6b976aÀ ces jeux, je rajouterai Witness publié chez Ystari, un petit jeu d'enquête coopératif dans l'univers de Blake et Mortimer.  Ce jeu très malin est basé sur le principe du téléphone arabe : chaque enquêteur possède une partie des indices qu'il doit répéter à ses partenaires le but du jeu étant que chacun parvienne à trouver la solution à l'énigme. Ce jeu très malin sera à n'en pas douter un gros succès de cette fin d'année. Je vous en reparlerai plus en détail très bientôt.
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samedi 15 novembre : "Albertine" ou le beau retour des lettres françaises à New York

http://mobile.lepoint.fr/culture/albertine-ou-le-beau-retour-des-lettres-francaises-a-new-york-22-10-2014-1874597_3.php

"Albertine" ou le beau retour des lettres françaises à New York

C'est le nouveau rendez-vous des lettres françaises à New York: la librairie Albertine, qui porte le doux nom d'une héroïne de Marcel Proust, a déjà séduit depuis son lancement fin septembre des milliers de lecteurs et attiré de grands noms de la culture.

Entouré de romanciers américains, l'écrivain français Emmanuel Carrère, T-shirt et col Mao, y présentait dimanche soir en anglais son oeuvre et des thèmes qui lui sont chers --le récit à la première personne, la complexité du réel, la place de l'interdit-- devant un public nombreux venu de France et d'Amérique.

L'auteur à succès était l'un des grands noms de l'écrit, mais aussi de l'image et du cinéma comme Olivier Assayas, Marjane Satrapi ou Matthew Weiner ("Mad Men"), de l'économie, tel le prix Nobel Joseph Stiglitz, ou de la mode, à se succéder lors d'un festival pour célébrer son lancement.
Quelque 3.500 livres ont été vendus en trois semaines depuis l'ouverture d'Albertine le 27 septembre. Le festival éponyme, qui doit devenir annuel, a rassemblé près de 1.200 personnes en une semaine.

"On est plein tout le temps, on est crevés" mais "ravis", s'enthousiasme François-Xavier Schmit, libraire toulousain sélectionné parmi plus de 100 autres candidats pour donner corps et vie à la librairie, riche de 14.000 titres.
Depuis la fermeture en 2009 de La Librairie de France du Rockefeller Center, en plein coeur de Manhattan, la francophile New York n'avait plus de temple de la littérature francophone.

Bien que plus excentrée, Albertine se veut une réponse à ce manque, offrant livres d'auteurs francophones en français et des traductions en anglais.
Mais c'est aussi et "d'abord un lieu de rencontre, avec des livres, des auteurs (...) et des idées", ainsi qu'une série de rendez-vous tout au long de l'année, explique à l'AFP son instigateur Antonin Baudry, conseiller culturel de l'ambassade à New York, plus connu pour la bande-dessinée "Quai d'Orsay", dont il est l'auteur.
- Foucault, Lacan et... Trierweiler -
Nichée au coeur d'un hôtel particulier du Gilded Age (1902) sur la Cinquième avenue à New York, au sein des services culturels de l'Ambassade de France, Albertine est un peu son bébé, né cet automne après quatre ans de gestation.
Canapés et fauteuils de cuir, grandes tables de bois, un plafond de constellations d'inspiration Renaissance, cet espace de 150 m2 sur deux étages se veut assez chaleureux pour inviter à la flânerie.
Au total, quelque 5,3 millions de dollars, issus de fonds intégralement privés (riches fondations américaines ou de grandes entreprises) auront permis à cette librairie, qui se veut "autonome", selon M. Schmit, même si rattachée à l'ambassade, de voir le jour.
Sur les étals, outre une traduction anglaise en avant-première du "Limonov" de M. Carrère, qui sort cette semaine aux Etats-Unis, le visiteur peut retrouver les Cours au Collège de France (1979-1980) de Michel Foucault, partir sur les traces du psychanalyste Jacques Lacan, découvrir les grands titres de la rentrée littéraire en France ou se plonger dans des sections enfant ou bande-dessinée bien fournies.
On trouve aussi les confessions de l'ancienne compagne du président français, François Hollande, Valérie Trierweiler, mais seulement dans un tiroir, pas sur la table, pour ceux qui le réclament spécifiquement.
"Ca fait tellement longtemps qu'on l'attendait... C'est une véritable réponse aux prières de la +francofolle+ que je suis", salue Ellen Count, qui tient un blog de littérature.
Mary Gaitskill, romancière américaine invitée elle aussi au festival, était "très étonnée" d'y avoir été conviée, avouant à l'AFP "ne pas connaître grand chose de la culture française"...
"Pour que cela marche, il faudrait organiser encore plus d'événements pour amener le public à rencontrer des gens comme Emmanuel (Carrère). Personne ne peut ne pas aimer ses bouquins, encore faut-il qu'on en entende parler", insiste-t-elle.
Sobrement, M. Carrère acquiesce: "J'ai envie d'être lu aux Etats-Unis... Ce que je suis un peu depuis finalement 20 ans. Mais plus ça le sera, mieux ce sera".

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vendredi 14 novembre 2014

vendredi 14 novembre : Les plus grandes stars du monde ne jurent que par notre pays, où elles adorent passer du bon temps, loin d'Hollywood. Cocorico !

http://mobile.lepoint.fr/people/brad-pitt-et-angelina-jolie-pourquoi-ils-adorent-la-france-22-10-2014-1874515_2116.php

Les plus grandes stars du monde ne jurent que par notre pays, où elles adorent passer du bon temps, loin d'Hollywood. Cocorico !

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mercredi 13 novembre : Roller boys & girls

http://mobile.lemonde.fr/sport/article/2014/10/16/roller-boys-girls_4507493_3242.html

Roller boys & girls


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mercredi 12 novembre : la France redevient le premier producteur mondial de vin

http://mobile.lemonde.fr/economie/article/2014/10/23/la-france-redevient-le-premier-producteur-mondial-de-vin_4511012_3234.html

La France redevient le premier producteur mondial de vin


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mardi 11 novembre : les banques françaises ont réussi les "stress tests"

http://www.lepoint.fr/economie/banques-les-stress-tests-n-etaient-pas-assez-exigeants-03-11-2014-1878201_28.php

Banques : "Les stress tests n'étaient pas assez exigeants"

l'article explique bien en quoi ils consistent.
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mercredi 5 novembre 2014

lundi 10 novembre : Demotivateur, le site qui donne la banane

http://mobile.lepoint.fr/high-tech-internet/demotivateur-le-site-qui-donne-la-banane-23-10-2014-1874965_47.php

Demotivateur, le site qui donne la banane

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dimanche 9 novembre : le solaire, nouvel or noir du désert ?

http://tempsreel.nouvelobs.com/sciences/20141022.OBS2831/le-solaire-nouvel-or-noir-du-desert.html

le solaire, nouvel or noir du désert ?

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samedi 8 novembre : Le premier royal tweet de la reine Elizabeth II

http://mobile.lepoint.fr/monde/le-premier-royal-tweet-de-la-reine-elizabeth-ii-24-10-2014-1875389_24.php

Le premier royal tweet de la reine Elizabeth II


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vendredi 7 novembre : Les Européens signent un accord ambitieux sur le climat

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/environnement/les-europeens-signent-un-accord-ambitieux-sur-le-climat_1614981.html

Les Européens signent un accord ambitieux sur le climat

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jeudi 6 novembre : Frank Gehry fait voler la fondation Louis Vuitton

http://www.franceinter.fr/depeche-frank-ghery-fait-voler-la-fondation-louis-vuitton

Frank Gehry fait voler la fondation Louis Vuitton

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mercredi 5 novembre : La culture, «moteur essentiel pour sortir de la crise»

http://www.jolpress.com/node/828432

La culture, «moteur essentiel pour sortir de la crise»

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mardi 4 novembre 2014

mardi 4 novembre : l'impression 3D, le nouveau visage d'Autodesk

http://m.lesechos.fr/redirect_article.php?id=0203884763968
L'impression 3D, le nouveau visage d'Autodesk.

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Lundi 3 novembre : en une animation, tous les avions du monde pendant 24h

http://www.learnsomething.tips/not-only-are-these-6-gifs-informative-theyre-hypnotizing-3/
 tous les avions du monde pendant 24h

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dimanche 2 novembre : La valise à roulettes du futur sert également de moyen de transport

http://www.huffingtonpost.fr/2014/10/24/valise-a-roulettes-futur-moyen-transport_n_6041312.html
La valise à roulettes du futur sert également de moyen de transport

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samedi 1er novembre : Google récompense une ado qui s'est vouée à dépolluer les sables bitumineux

http://m.radio-canada.ca/regions/alberta/2014/09/23/004-hayley-todesco-sables-bitumineux-prix-google-fair.shtml

Google récompense une ado qui s'est vouée à dépolluer les sables bitumineux


Pour la deuxième fois ce mois-ci, le projet scientifique d'une adolescente de Calgary a remporté une précieuse distinction.
Hayley Todesco, 17 ans, a gagné un prix lors de l'événement scientifique Google Science Fair, aux États-Unis, pour son projet visant à détoxifier plus rapidement les bassins de décantation des sables bitumineux. Ce projet lui a aussi permis de remporter le Stockholm Junior Water Prize au début du mois.
Les bassins de décantation qui recueillent les résidus de l'extraction des sables bitumineux sont l'une des pierres d'achoppement de cette industrie.
Intitulée Nettoyage du sable pollué par les déversements de pétrole, l'étude de Hayley Todesco mesure l'efficacité des filtres à sable « lents » pour la biodégradation des acides naphténiques, des produits toxiques se trouvant dans ces bassins. Selon les résultats de la jeune fille, cette méthode, qui servait à filtrer l'eau dès le 19e siècle, se révèle 14 fois plus efficace que des filtres contenant des cellules planctoniques.
Google lui a remis une bourse de 25 000 $ pour cette découverte, et l'Institut international de l'eau de Stockholm, responsable du Stockholm Junior Water Prize, lui a donné 15 000 $, ainsi que 5000 $ pour son école.
L'an dernier, une adolescente de Victoria, en Colombie-Britannique, avait également remporté un prix prestigieux lors de la foire scientifique de Google. Ann Makosinski, alors âgée de 15 ans, avait conçu une lampe de poche sans piles qui fonctionne avec la chaleur des mains.

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