dimanche 21 décembre 2014

mercredi 31 décembre : Simplon Village, bienvenue chez les codeurs en herbe !


Simplon Village, bienvenue chez les codeurs en herbe !

Cat4-2*

mardi 30 décembre : "Hush", les premières boules quies connectées, pour dormir sans rien rater

"Hush", les premières boules quies connectées, pour dormir sans rien rater
http://www.huffingtonpost.fr/2014/11/27/boules-quies-connectees-hush-techno-kickstarter-video_n_6225902.html
Cat11-3*-

lundi 29 décembre : Vous répondez quasi instantanément à vos mails? C'est mauvais pour la santé

Vous répondez quasi instantanément à vos mails? C'est mauvais pour la santé
http://m.slate.fr/story/95081/repondre-mail
cat12-3*

dimanche 28 décembre : France : le climat des affaires s'est amélioré en novembre

France : le climat des affaires s'améliore en novembre
http://mobile.lepoint.fr/economie/france-le-climat-des-affaires-s-ameliore-en-novembre-25-11-2014-1884257_28.php
Cat14-2*

samedi 27 décembre : Bientôt une sphère pour remplacer souris et écrans tactiles ?

Bientôt une sphère pour remplacer souris et écrans tactiles ?

Cat1-2*

vendredi 26 décembre : Etats-Unis : Amazon se dote d'une armée de 15 000 robots

Etats-Unis : Amazon se dote d'une armée de 15 000 robots


Cat11-2*

jeudi 25 décembre : Cinq idées de cadeaux pour sportifs


Cinq idées de cadeaux pour sportifs


Cat15-3*

mercredi 24 décembre : Une PME aixoise veut faire du mobile un outil au service de la santé des seniors


Une PME aixoise veut faire du mobile un outil au service de la santé des seniors


cat1-3*

mardi 23 décembre : les Grands Prix de l'Innovation de la Ville de Paris

https://storify.com/JulienMARIE/les-grands-prix-de-l-innovation-de-paris?utm_source=t.co&utm_campaign=&utm_content=storify-pingback&utm_medium=sfy.co-twitter&awesm=sfy.co_trWg

les Grands Prix de l'Innovation de la Ville de Paris

cat10-2*

lundi 22 décembre : Toyota lance Mirai, sa voiture à pile à combustible

http://www.largus.fr/actualite-automobile/toyota-lance-mirai-sa-voiture-a-pile-a-combustible-5417380.html

Toyota lance Mirai, sa voiture à pile à combustible


Cat11-2*

dimanche 21 décembre : VIDEO. Lyon : ballets féériques et grandes fresques pour la traditionnelle Fête des lumières

http://mobile.francetvinfo.fr/culture/spectacles/video-lyon-ballets-feeriques-et-grandes-fresques-pour-la-traditionnelle-fete-des-lumieres_765583.html#xtref=http://news.google.fr/

VIDEO. Lyon : ballets féériques et grandes fresques pour la traditionnelle Fête des lumières

Cat16-2*

samedi 20 décembre / 2e : FAITES DES CADEAUX ISSUS DES START-UPS FRANÇAISES

FAITES DES CADEAUX ISSUS DES START-UPS FRANÇAISES

http://www.noeldelafrenchtech.fr
cat10-3*


samedi 20 décembre : 30 TECHNOS MADE IN FRANCE

http://www.industrie-techno.com/30-technos-made-in-france.34888

30 TECHNOS MADE IN FRANCE

Cat10-3*

vendredi 19 décembre : Vincent Bolloré veut installer 16 000 bornes de recharge pour "un investissement de 150 millions d'euros sur 4 ans"

http://mobile.lepoint.fr/economie/vehicules-propres-bollore-veut-installer-16-000-bornes-de-recharge-08-12-2014-1887738_28.php

Vincent Bolloré veut installer 16 000 bornes de recharge pour "un investissement de 150 millions d'euros sur 4 ans"


Cat11-2*

jeudi 18 décembre : Darty embauche un robot NAO

http://www.linformatique.org/darty-embauche-un-robot-nao/

Darty embauche un robot NAO

cat11-2*

mercredi 17 décembre : Le nouvel Airbus A350 en flotte


https://m.youtube.com/watch?v=V2tsjeV7uNQ

Le nouvel Airbus a350 en flotte

The A350 XWB test fleet joins up in formation flight
Cat4

mardi 16 décembre : "Le digital, ce n'est pas le sujet d'un seul service mais du PDG, du comité exécutif et de toute l'entreprise"

http://www.usine-digitale.fr/editorial/le-digital-ce-n-est-pas-le-sujet-d-un-seul-service-mais-du-pdg-du-comite-executif-et-de-toute-l-entreprise-selon-oliver-wyman.N301458?google_editors_picks=true

"Le digital, ce n'est pas le sujet d'un seul service mais du PDG, du comité exécutif et de toute l'entreprise"


Cat4-3*

lundi 15 décembre : Banque : ces chefs économistes français qu’on s’arrache à la City

http://www.lopinion.fr/9-decembre-2014/banque-chefs-economistes-francais-qu-on-s-arrache-a-city-19205?utm_source=twitter&utm_medium=social&utm_content=eco&utm_campaign=content

Banque : ces chefs économistes français qu’on s’arrache à la City

Cat14-2*

dimanche 14 décembre : debout, les damnés des écrans !


http://internetactu.blog.lemonde.fr/2014/12/06/debout-les-damnes-des-ecrans/

debout, les damnés des écrans !


Cat12-3*

mercredi 10 décembre 2014

samedi 13 décembre : EN IMAGES. Une année dans les jardins de Versailles

http://www.lexpress.fr/diaporama/diapo-photo/culture/livre/en-images-une-annee-dans-les-jardins-de-versailles_1620125.html

EN IMAGES. Une année dans les jardins de Versailles

cat10-2*

vendredi 12 décembre : Une première mondiale dans le traitement de la myopathie

http://www.franceinfo.fr/actu/societe/article/une-decouverte-majeure-dans-le-traitement-de-la-myopathie-de-duchenne-598723

Une première mondiale dans le traitement de la myopathie

cat2-2*

jeudi 11 décembre : Télépathie: réussite d'une expérience de communication à distance entre deux cerveaux

http://www.huffingtonpost.fr/2014/11/10/telepathie-experience-communication-distance-cerveaux_n_6131164.html

Télépathie: réussite d'une expérience de communication à distance entre deux cerveaux

cat2-2*

mercredi 10 décembre : Pulsions alimentaires : des gestes simples peuvent les détourner

http://www.topsante.com/medecine/maladies-chroniques/obesite-surpoids/soigner/pulsions-alimentaires-des-gestes-simples-peuvent-les-detourner-73255

Pulsions alimentaires : des gestes simples peuvent les détourner

cat12-3*

mardi 9 décembre : Basket - Les yeux dans les Verts #1 : Donnadieu, le père

http://mobile.lepoint.fr/sport/basket-au-coeur-de-la-jsf-1-donnadieu-le-pere-14-11-2014-1881142_26.php

Basket - Les yeux dans les Verts #1 : Donnadieu, le père

cat6-3*

lundi 8 décembre : Elle boit 3 litres d’eau pendant 1 mois : voilà le résultat

http://www.medisite.fr/elle-boit-3-litres-deau-pendant-1-mois-voila-le-resultat.727692..html

Elle boit 3 litres d’eau pendant 1 mois : voilà le résultat

cat12-3*

dimanche 7 décembre : Cerveau : l'apprentissage d'une langue étrangère, c'est bon pour les neurones

http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20141117.OBS5239/cerveau-l-apprentissage-d-une-langue-etrangere-c-est-bon-pour-les-neurones.html

Cerveau : l'apprentissage d'une langue étrangère, c'est bon pour les neurones

Cat12-3*

samedi 6 décembre : En images, 9 objets français innovants qui vont changer le quotidien

http://www.zdnet.fr/actualites/en-images-9-objets-francais-innovants-qui-vont-changer-le-quotidien-39809647.htm#xtor=123456

En images, 9 objets français innovants qui vont changer le quotidien

cat11-2*

vendredi 5 décembre : Tristan Lecomte, celui qui murmure à l'oreille des multinationales

http://m.la-croix.com/Solidarite/Dans-le-monde/Tristan-Lecomte-celui-qui-murmure-a-l-oreille-des-multinationales-2014-11-21-1267950?artn=1240836&artc=1&sctn=8708

Tristan Lecomte, celui qui murmure à l'oreille des multinationales

cat17-2*

jeudi 4 décembre : Le Musée des Confluences, symbole de la rénovation du sud de la presqu’île lyonnaise

http://mobile.lemonde.fr/immobilier/article/2014/11/17/le-musee-des-confluences-symbole-de-la-renovation-du-sud-de-la-presqu-ile-lyonnaise_4524470_1306281.html

Le Musée des Confluences, symbole de la rénovation du sud de la presqu’île lyonnaise


cat19

jeudi 4 décembre 2014

mercredi 3 décembre : pourquoi Woody Allen aime (aimait ?) Paris

http://mobile.lepoint.fr/culture/woody-allen-et-paris-fin-de-la-love-story-30-10-2014-1877175_3.php

pourquoi Woody Allen aime (aimait ?) Paris


 "On regardait Paris, émerveillé, se souvient le réalisateur, en se disant que c'est fantastique que l'humanité ait construit une ville pareille : les rues, l'architecture, les arbres, la façon dont les Parisiens s'habillent, mangent, se comportent, tout est signe du plus haut degré de civilisation. Perdre la moindre portion de ça, c'est terrible. Et malheureusement, Paris aujourd'hui a perdu une partie de ses beautés. L'architecture et l'urbanisme demeurent les mêmes. Oui, bien sûr, mais l'esprit a changé."

et
"La France a toujours été le symbole des ambitions humaines les plus élevées sur le plan artistique et culturel. Quand on regarde la France, on se dit : Voilà ce que l'homme a réussi de plus beau, de plus ambitieux, de plus élevé en matière d'art, d'architecture, de mode, de savoir-vivre... "
et
 "Rome, Paris sont visuellement tellement différentes de New York que c'en est forcément inspirant. Au-delà de l'aspect visuel, les sensibilités des pays européens sont très différentes de ce que je connais à New York. Nous, Américains, regardons la France et les Français d'une façon très romantique, et ces fantasmes aident à inventer une histoire." Et de conclure : "Si Paris devient un centre commercial, ce serait une perte non seulement pour Paris mais pour l'humanité entière."
 cat10-3*

mardi 2 décembre : Laure Saint-Raymond, mathématicienne brillante et discrète

http://mobile.lemonde.fr/festival/article/2014/08/13/laure-saint-raymond-mathematicienne-brillante-et-discrete_4470836_4415198.html

Laure Saint-Raymond, mathématicienne brillante et discrète

Le domaine de recherche de Laure Saint-Raymond est un monde où se chevauchent les mathématiques et les sciences de la matière. Où les lois de la nature s'incarnent dans de cabalistiques équations qui deviennent, en elles-mêmes, des objets mathématiques pourvus d'une vie autonome, et dont les propriétés racontent les réalités cachées du monde physique. L'une de ses contributions récentes, conduite notamment avec le mathématicien François Golse (Ecole polytechnique), a été de chercher à retrouver, à partir des lois régissant le mouvement individuel de particules microscopiques, les équations qui décrivent l'écoulement d'un fluide macroscopique.

Avec la mathématicienne Isabelle Gallagher (université Paris-Diderot-Paris-VII), Laure Saint-Raymond s'est penchée sur des problèmes en apparence plus terre à terre, mais tout aussi diaboliquement difficiles. « Isabelle et Laure ont travaillé sur des modèles de circulation océanique, sur la difficulté à y intégrer la force de Coriolis , dit Jean-Yves Chemin. Auparavant, nous étions capables de décrire les choses aux latitudes moyennes ; elles sont parvenues à traiter mathématiquement ce qui se produit au voisinage de l'équateur. Le travail qu'elles ont mené sur ce sujet est magnifique. »

cat6-2*

lundi 1er décembre : Le Marais Girard à Brétignolles sur Mer, et SOS Normandelière

https://www.academia.edu/1591830/LE_MARAIS_GIRARD_%C3%80_BR%C3%89TIGNOLLES-SUR-MER_Vend%C3%A9e_

 Le Marais Girard à Brétignolles sur Mer

et http://sosnormandeliere.blogspot.fr/ et http://veillenormandeliere.blogspot.fr/

cat7-3*

mardi 25 novembre 2014

vendredi 21 novembre 2014

jeudi 27 novembre : Ces Français qui relancent l'industrie à la française

http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/ces-francais-qui-relancent-l-industrie-a-la-francaise_1616974.html

Ces Français qui relancent l'industrie à la française


cat14-3*

mercredi 26 novembre : Les 35 plus belles photos du concours National Geographic 2014 vont vous en mettre plein la vue

http://www.minutebuzz.com/culture--les-35-plus-belles-photos-du-concours-national-geographic-2014-vont-vous-en-mettre-plein-la-vue/1/

Les 35 plus belles photos du concours National Geographic 2014 vont vous en mettre plein la vue


cat7-2*

mardi 25 novembre : Paris 2025, une Exposition Universelle pour vaincre le pessimisme français

http://m.la-croix.com/Actualite/France/Paris-2025-une-Exposition-universelle-pour-vaincre-le-pessimisme-francais-2014-10-29-1256480

Paris 2025, une Exposition Universelle pour vaincre le pessimisme français


cat10-3*

lundi 24 novembre : Les cristaux, beaux compagnons de l’humanité

http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2014/10/26/les-cristaux-beaux-compagnons-de-lhumanite/

Les cristaux, beaux compagnons de l’humanité


cat7-3*

dimanche 23 novembre : Dix astuces pour laisser son stress au bureau

http://m.lentreprise.com/rh-management/efficacite-personnelle/dix-astuces-pour-laisser-son-stress-au-bureau_1524923.html

Dix astuces pour laisser son stress au bureau

cat18-3*

samedi 22 novembre : quand votre travail vous empêche de dormir, il y a des solutions !

http://m.lentreprise.com/rh-management/efficacite-personnelle/mon-travail-m-empeche-de-dormir_1521362.html

et

http://m.lentreprise.com/rh-management/efficacite-personnelle/comment-vivre-avec-un-accro-au-travail_1615170.html

cat18-3*

mercredi 19 novembre 2014

vendredi 21 novembre : World Architecture Festival: découvrez 33 bâtiments innovants

http://www.huffingtonpost.fr/2014/10/15/world-architecture-festival-33-batiments-innovation-2014_n_5989084.html

World Architecture Festival: découvrez 33 bâtiments innovants

cat19

jeudi 20 novembre : La fin des aides au mérite pour les étudiants ? Non, dit le Conseil d'Etat

http://mobile.lemonde.fr/societe/article/2014/10/17/la-fin-des-aides-au-merite-pour-les-etudiants-non-dit-le-conseil-d-etat_4508013_3224.html

La fin des aides au mérite pour les étudiants ? Non, dit le Conseil d'Etat

cat13-3*

mercredi 19 novembre : L'esprit du lac Vänern (Suède)

http://www.ilpiccolomondodipippo.com/lesprit-du-lac-vanern/#jp-carousel-12377

L’esprit du lac Vänern


Cat16

mardi 18 novembre : Fondation Louis Vuitton: Le musée grandiose du bois de Boulogne

http://m.20minutes.fr/culture/1463639-fondation-louis-vuitton-musee-grandiose-bois-boulogne

Fondation Louis Vuitton: Le musée grandiose du bois de Boulogne

CAU ANTOINE/SIPA
La Fondation Louis Vuitton ouvre le 27 octobre 2014.

ART CONTEMPORAIN - L'édifice aux douze voiles de verre imaginé par Frank Gehry a été inauguré vendredi au nord du Bois de Boulogne, quelques jours avant son ouverture au public le 27 octobre… 

Le vaisseau de la Fondation Louis Vuitton attend ses premiers visiteurs. Par la démesure du projet architectural, l'édifice signé Frank Gehry reçoit tous les superlatifs. Serait-ce le futur plus beau musée de France? «Du monde», même, disent les plus enthousiastes. 

Paris a son Bilbao

C’est quand il est affronté de face que le surnom de vaisseau lui va le mieux. Constitué de douze immenses voiles de verre qu’on croirait gonflées par le vent, le bâtiment, masse d’acier à l’allure étrangement légère, aérienne, s'élève sur un parterre d'eau qui se déverse en escalier à ses pieds. 
Quarante-six mètres de haut, 150 mètres de long, 11.000m2, et cinq ans de travaux et d'innovation -trente brevets ont été déposés, un cas inédit- pour un projet né en 2001, quand le président de LVMH Bernard Arnault découvre avec fascination le musée Guggenheim de Bilbao, l’une des œuvres les plus spectaculaires de l’Américain Frank Gehry. L’architecte se voit confier la construction d’un édifice voulu comme la prolongation de la politique de mécénat du groupe, à deux pas du Jardin d’Acclamation, au nord du Bois de Boulogne. 
La Fondation vue de face. Crédit: A.Laurent
Quand Frank Gehry visite le jardin en 2002, il a «les larmes aux yeux», racontait-il vendredi, à la pensée des «souvenirs dont il est rempli». Il «imagine Proust déambulant au XIXe siècle» et décide de s’inspirer de la tradition des architectures en verre comme celle du Grand Palais.
De l’intérieur, l’apparence liquide, presque laiteuse des 3.800 panneaux sérigraphiés surprend. On découvre à travers eux la vue sur le bois, la Défense, la Tour Eiffel, alors qu’on arpente les escaliers qui nous mènent d’un niveau à l’autre, sur le parcours des onze galeries, jusqu’aux trois terrasses. C’est sans doute là, au sommet du navire, entre les voiles soutenues par les poutres d’acier et de bois, que le spectacle est le plus saisissant. Qu’on se dit que les Parisiens ont de la chance. 

Un premier accrochage restreint 

Mais qu’y verra-t-on, dans ce musée? Pour l’instant, le parcours se veut «centré sur la découverte de l’architecture de Frank Gehry», a expliqué la directrice artistique Suzanne Pagé. Avec, au premier niveau, l'exposition des maquettes: il en a fallu une soixantaine avant la modélisation 3D. On découvre la fascination transformation du bâtiment dans l’esprit de son architecte, mais en se passant d'explication: les esprits ingénieurs seront déçus. Les réponses sont dans l'exposition du Centre Pompidou dont celle-ci se veut complémentaire. 
Dans les onze galeries, chacune dotée d’une ouverture - celle de la galerie 10 lui vaut le surnom de «chapelle» - la sélection est pour l’instant restreinte: l'inauguration se veut en trois temps jusqu'en septembre. Le premier accrochage réunit jusqu'au 21 novembre Christian Boltanksi, Pierre Huyghe, Bertrand Lavier, Gerhard Richter et Thomas Schütte. S'y ajoutent sept œuvres déjà conçues pour le lieu, parmi lesquelles des toiles monochromes d’Ellsworth Kelly pour l’auditorium de 400 sièges situé à l’avant et une construction en miroirs d’Olafur Eliasson, en rez-de-bassin. 
Alors, plus beau musée de France? Les férus d'art contemporain en jugeront dans les mois qui viennent. Mais le public sera bien plus large: la fondation table sur plus de 700.000 entrées (à 14 euros en plein tarif) par an. Comme au Guggenheim de Bilbao, on viendra d'abord pour se perdre dans les escaliers et les galeries de cet envoûtant chaos contrôlé propre à Frank Gehry. 
Vue sur La Défense depuis la terrasse centrale. Crédit: A.Laurent. 
Annabelle Laurent
cat19-2*

lundi 17 novembre : Etre ou avoir ? Pour une économie de services

http://mobile.lemonde.fr/idees/article/2014/10/16/etre-ou-avoir-pour-une-economie-de-services_4507417_3232.html

Etre ou avoir ? Pour une économie de services

Le recyclage des batteries au plomb constitue la première source de pollution industrielle dans le monde. | AFP/ARMEND NIMANI

Une bonne partie de notre économie est fondée sur le cercle vicieux qu’est l’acquisition, l’obsolescence et la réacquisition d’objets. Pour contrebalancer le besoin inné de posséder, un cercle plus vertueux devient impératif, avec des services moins délétères pour l’environnement, les ressources et le climat.

Axer une société sur la possession fait que la responsabilité du devenir des produits de consommation passe du producteur à l’acheteur. Ce dernier n’aura pas d’autre choix que de s’en défaire comme il peut, après usage ; d’où un gaspillage et une accumulation de déchets.
Une économie fondée sur les services aurait l’avantage de la durabilité et de la « réparabilité » des produits. En effet, un prestataire de service a tout intérêt à allonger la durée de vie d’une marchandise, surtout s’il a la responsabilité de son recyclage.
En séparant la possession de l’utilisation, on peut également rechercher un gain d’efficacité : rappelons que la voiture d’un particulier, par exemple, n’est utilisée que 5 % de son temps ; le parc automobile est donc démesuré par rapport à son utilité réelle. Se déplacer peut parfaitement se concevoir au travers d’un service.

DISPOSER DE L’USAGE DES CHOSES SANS DEVOIR LES POSSÉDER

Les futurs véhicules autonomes (sans chauffeur) ouvrent la voie à une révolution des mœurs, si l’on considère une utilisation mutualisée et à la carte, comme pour un abonnement de bus. Cela voudra dire moins de véhicules, mais la diminution de la production – qui s’automatise de plus en plus – pourrait paradoxalement engendrer plus de créations d’emplois pour la maintenance, la réparation, la mise à jour, le suivi, le recyclage et la personnalisation des offres de service ; à condition que ces aspects soient prévus dans la conception des produits.
Le Saint-Graal serait la substitution physique d’objets par un service. Dans des domaines à forte innovation, comme les technologies de l’information et de la communication, les services (en ligne) ont déjà pris le dessus sur les supports. C’est le cas pour les livres, la musique ou les films.
Disposer de l’usage des choses sans devoir les posséder a ainsi désengorgé nos étagères du disque vinyle, puis digital en une génération. La dématérialisation va plus loin encore, en intégrant dans les smartphones et tablettes des services remplaçant le téléphone fixe, le répondeur, le réveil, la montre, la radio, l’appareil photo, les jeux et bientôt l’ordinateur et la télévision en projection rétinienne.
On paie donc un ensemble de services, et non plus une multitude d’objets, qui étaient de surcroît vite obsolescents. La perte des affects et attachements à ces objets est compensée par des gains comme l’optimisation des coûts, du temps et de l’espace (les objets étant encombrants).

POTENTIEL CROISSANT

Qu’il en soit de même pour les voitures est souhaitable, mais sera plus difficile, car acheter un véhicule, c’est souvent acquérir aussi un statut social. L’e-commerce, la réalité virtuelle et l’holographie vont toutefois diminuer le besoin physique de se déplacer.
Le pas à faire est de se convaincre qu’un service est plus avantageux et peut mieux répondre à un besoin que la possession d’un produit. L’engouement pour les vélos et les voitures électriques en libre-service montre que cela est possible. De toute façon, sans en être conscient, quand on acquiert un objet onéreux, comme une voiture, on fait déjà appel à un service, par le biais d’un emprunt ; et dans ce cas, in fine, le produit ne nous appartient réellement que quand il est déjà obsolète.
Le potentiel du marché des services est croissant car les mentalités commencent à changer, pour la nouvelle génération en tout cas. Les personnes âgées sont aussi une cible de prédilection pour des raisons évidentes ; elles ne désirent plus acquérir mais profiter du temps restant.
En Europe, au moins une personne sur 10 aura 80 ans ou plus d’ici à 2050. La solvabilité bancaire et le moindre pouvoir d’achat des jeunes et des futurs seniors est une raison supplémentaire pour passer de l’acquisition au service. De plus, louer un service sera perçu comme moins risqué qu’une acquisition pour le lancement de produits innovants, comme un robot assistant personnel pour personne dépendante, par exemple.

DÉPLACER LES TAXES

Les secteurs où l’acquisition peut être remplacée par un service sont légion. Beaucoup de ménages hésitent encore à investir dans les énergies nouvelles : pourquoi ne pas simplement louer les panneaux photovoltaïques, voire un service qui combine les formes d’énergie les mieux adaptées (mini-éolienne, géothermie…). Cela peut aussi être le cas pour l’électroménager, ou pour les imprimantes 3D.
Nos modèles économiques sont à revoir, en favorisant la créativité, et non la consommation. Et pour ne pas déplacer le problème de la possession et des déchets vers les prestataires de services – qui pourraient alors devenir des promoteurs abusifs de services – les pouvoirs publics doivent rééquilibrer le marché en déplaçant les taxes. On pourrait ainsi augmenter la TVA sur les biens et la diminuer, en compensation, sur les services correspondants.
Cette taxe aurait ainsi une composante de TVA verte, modulable suivant la « performance écologique » des prestataires de services ; une sorte de taxe sur la « non-valeur ajoutée », qui permettrait d’intégrer des externalités. C’est parce que l’écosystème de notre planète est gratuit que nous en abusons.
Une économie fondée sur le partage des services, et non sur le consumérisme égocentrique, est plus qu’une mode ou un nouveau modèle économique, c’est une éthique. Le choix entre posséder et partager n’est d’ailleurs pas nouveau. Pour paraphraser Aristote, la vraie richesse est dans l’usage que l’on fait des choses, plus que dans leur possession. La vraie liberté est d’être, et non pas d’avoir (les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement la position de la Commission européenne).
Par Didier Schmitt (Conseiller scientifique auprès du Président de la Commission européenne)
cat11-3*

dimanche 16 novembre : Les Français à l’honneur au salon du jeu de société d’Essen

http://vidberg.blog.lemonde.fr/2014/10/20/les-francais-a-lhonneur-au-salon-du-jeu-de-societe-dessen/

Les Français à l’honneur au salon du jeu de société d’Essen

Le salon d'Essen vient tout juste de fermer ses portes. Comme chaque année en octobre depuis 32 ans, cette ville de la Ruhr devient la capitale du monde ludique en réunissant la plupart de ses acteurs (auteurs, éditeurs, joueurs) pour une immense foire de 58 000 m² consacrée aux jeux de société.
DSC08913
Sans-titre-2À deux mois des fêtes de Noël, les éditeurs profitent de l'événement pour mettre en avant leurs nouveautés.
Cette année, ce sont 832 exposants de 41 pays qui ont présenté plus de 850 nouveaux jeux. C'est beaucoup. Beaucoup trop pour un public de plus en plus nombreux mais qui doit désormais faire des choix et se reporte souvent autour des mêmes boîtes qui "font le buzz".
Il y a quelques années, un amateur éclairé pouvait acheter tous les jeux qui correspondaient à ses goûts. Aujourd'hui, repartir du salon avec les perles rares est un défi à part entière : le visiteur doit faire le tri, tester les jeux, écouter la rumeur avec l'espoir de ne surtout pas rater LE jeu du salon que tout le monde s'arrache et qui se retrouvera très vite en rupture.
drinkopily
On trouve des jeux pour tout type de joueurs à Essen, y compris des jeux à boire.
En 2014, les éditeurs francophones ont de nouveau joué les premiers rôles en présentant quelques uns des plus gros succès d'estime et probablement les jeux les plus esthétiques du salon. L'illustration et le graphisme sont devenus des critères prépondérant pour le public.
Est-ce qu'il faut y voir une "French touch", les éditeurs français l'ont bien compris et force est de constater que ce n'est pas forcément le cas pour tous les autres pays.
Le stand des français de Funforge réunissait quelques uns des plus beaux jeux du salon
Le stand des français de Funforge réunissait quelques uns des plus beaux jeux du salon
Lift-it
Dans Lift it, l'une des curiosité du salon, les joueurs doivent bâtir des édifices avec une grue accrochée sur la tête.
On trouve vraiment des jeux sur tout et n'importe quoi à Essen
On trouve vraiment des jeux sur tout et n'importe quoi à Essen
Depuis quelques années, l'une des tendances est l'éclosion de jeux "minimalistes" qui se jouent très rapidement et qui exploitent un matériel simple (une poignée de jetons, une vingtaine de cartes dans une petite boîte).
De nombreux jeux répondaient  au cahier des charges et dans les allées, quelques éditeurs encourageaient les auteurs à se prêter à l'exercice de style.  Ces jeux sont très simples à produire, vendus à bas prix et s'adressent à un public potentiellement large qui n'hésite pas à les acheter "à l'aveugle".
Malheureusement, si je ne doute pas que de nouvelles perles paraîtront dans les prochaines années, on arrive un peu à l'overdose et la plupart de ces jeux manquent de profondeur et d'intérêt. Je n'en ai pas trouvé peu d'aussi convaincants que les années précédentes, la meilleure note revenant sans doute à l'éditeur français Ferti avec Vérone, un petit jeu de 19 cartes particulièrement élégant grâce aux très très belles illustrations de Matthieu Leyssenne.
Sans-titre-3
203_Essen-1
japan
41 nations étaient représentées sur le salon. Y compris les japonais de Japon brand, spécialistes des jeux minimalistes.
On ne trouvait pas que des jeux à Essen. Les tables luxueuses des français de Legacy game Home design ont fait forte impression !
Une autre tendance forte du salon est l'utilisation des nouvelles technologies et notamment des smartphones au sein des traditionnels jeux de plateau. 2 jeux ont marqué les esprits : le premier n'était pas en vente mais uniquement présenté sur le salon. Il s'agit de World of Yo-Ho qui sera édité par les français des Volumiques et dont le financement participatif sera bientôt lancé sur Kickstarter. Dans ce jeu de pirates, les joueurs utilisent leurs smartphones en remplacement des pions traditionnels sur un plateau de jeu bien réel. L'appareil gère les ressources, les affrontements et permet d'éviter les erreurs de règles. Si quelques visiteurs s'inquiétaient de la disparition du carton et des dés, de l'avis des créateurs, il ne s'agit pas de créer un jeu vidéo mais d'enrichir techniquement l'expérience d'un jeu de plateau qui réunira toujours les joueurs autour d'une même table.
Je n'ai pas pu tester World of Yo-Ho sur le salon mais je suis très curieux d'y jouer.
1404785_1488099614786178_4180330819914302050_o
Sur le stand de l'éditeur tchèque CGE, Alchimist a également rencontré un joli succès.
Les joueurs y incarnent des magiciens qui mélangent des ingrédients pour créer des potions fabuleuses. À chaque partie, les combinaisons de potions changent, le but du jeu étant d'identifier quels ingrédients vont permettre de réaliser quelles potions à la manière d'un Mastermind (très) évolué.
Il y a deux manières de jouer à ce jeu : soit avec un joueur qui connait au début de la partie toutes les combinaisons et qui indiquera à chaque fois, sans prendre part au jeu, le résultat des expériences des autres joueurs. La seconde solution, plus simple et qui permet à tout le monde de jouer, est d'utiliser une application de smartphone qui se charge de donner les résultats.
L'utilisation du smartphone facilite ici un mécanisme innovant dans un jeu de plateau bien réel qui n'a rien d'un jeu vidéo. Alchimist a remporté un gros succès sur le salon et sera édité en France par Iello.
Les joueurs d'Alchimist scannent les cartes du jeu avec leur smartphone pour faire apparaître une potion
Les joueurs d'Alchimist scannent les cartes du jeu avec leur smartphone pour faire apparaître une potion
IMG
DSC08920
Sébastien Dujardin se réjouissant du succès de Deus, dont le tirage a été épuisé dès le deuxième jour
Deux classements permettent de centraliser les retours des joueurs pour tenter de saisir les "buzz" du salon : le geekbuzz réalisé par le site Board game geek et le classementFairplay. Parmi les gros succès du salon je citeraiDeus de l'éditeur belge Pearl Games qui comme chaque année produit un unique jeu élégant à la mécanique particulièrement soignée.
Il réalise l'exploit de figurer dans le top 5 des deux classements.
Parmi les jeux qui figurent dans le top 12 de ces classements, on notera plusieurs jeux français : Abyss de Bruno Cathala et Charles Chevalier,Five tribes toujours de Bruno Cathala qui réalise là un doublé inédit et Colt express des Ludonautes.
five-tribes
Les français de Days of wonder avaient vu les choses en grand avec plus de 30 tables de leur nouveau hit Five tribes
img-4bd4ec1128bddab1928ab8e98ac0096caa6b976aÀ ces jeux, je rajouterai Witness publié chez Ystari, un petit jeu d'enquête coopératif dans l'univers de Blake et Mortimer.  Ce jeu très malin est basé sur le principe du téléphone arabe : chaque enquêteur possède une partie des indices qu'il doit répéter à ses partenaires le but du jeu étant que chacun parvienne à trouver la solution à l'énigme. Ce jeu très malin sera à n'en pas douter un gros succès de cette fin d'année. Je vous en reparlerai plus en détail très bientôt.
IMG

cat8



samedi 15 novembre : "Albertine" ou le beau retour des lettres françaises à New York

http://mobile.lepoint.fr/culture/albertine-ou-le-beau-retour-des-lettres-francaises-a-new-york-22-10-2014-1874597_3.php

"Albertine" ou le beau retour des lettres françaises à New York

C'est le nouveau rendez-vous des lettres françaises à New York: la librairie Albertine, qui porte le doux nom d'une héroïne de Marcel Proust, a déjà séduit depuis son lancement fin septembre des milliers de lecteurs et attiré de grands noms de la culture.

Entouré de romanciers américains, l'écrivain français Emmanuel Carrère, T-shirt et col Mao, y présentait dimanche soir en anglais son oeuvre et des thèmes qui lui sont chers --le récit à la première personne, la complexité du réel, la place de l'interdit-- devant un public nombreux venu de France et d'Amérique.

L'auteur à succès était l'un des grands noms de l'écrit, mais aussi de l'image et du cinéma comme Olivier Assayas, Marjane Satrapi ou Matthew Weiner ("Mad Men"), de l'économie, tel le prix Nobel Joseph Stiglitz, ou de la mode, à se succéder lors d'un festival pour célébrer son lancement.
Quelque 3.500 livres ont été vendus en trois semaines depuis l'ouverture d'Albertine le 27 septembre. Le festival éponyme, qui doit devenir annuel, a rassemblé près de 1.200 personnes en une semaine.

"On est plein tout le temps, on est crevés" mais "ravis", s'enthousiasme François-Xavier Schmit, libraire toulousain sélectionné parmi plus de 100 autres candidats pour donner corps et vie à la librairie, riche de 14.000 titres.
Depuis la fermeture en 2009 de La Librairie de France du Rockefeller Center, en plein coeur de Manhattan, la francophile New York n'avait plus de temple de la littérature francophone.

Bien que plus excentrée, Albertine se veut une réponse à ce manque, offrant livres d'auteurs francophones en français et des traductions en anglais.
Mais c'est aussi et "d'abord un lieu de rencontre, avec des livres, des auteurs (...) et des idées", ainsi qu'une série de rendez-vous tout au long de l'année, explique à l'AFP son instigateur Antonin Baudry, conseiller culturel de l'ambassade à New York, plus connu pour la bande-dessinée "Quai d'Orsay", dont il est l'auteur.
- Foucault, Lacan et... Trierweiler -
Nichée au coeur d'un hôtel particulier du Gilded Age (1902) sur la Cinquième avenue à New York, au sein des services culturels de l'Ambassade de France, Albertine est un peu son bébé, né cet automne après quatre ans de gestation.
Canapés et fauteuils de cuir, grandes tables de bois, un plafond de constellations d'inspiration Renaissance, cet espace de 150 m2 sur deux étages se veut assez chaleureux pour inviter à la flânerie.
Au total, quelque 5,3 millions de dollars, issus de fonds intégralement privés (riches fondations américaines ou de grandes entreprises) auront permis à cette librairie, qui se veut "autonome", selon M. Schmit, même si rattachée à l'ambassade, de voir le jour.
Sur les étals, outre une traduction anglaise en avant-première du "Limonov" de M. Carrère, qui sort cette semaine aux Etats-Unis, le visiteur peut retrouver les Cours au Collège de France (1979-1980) de Michel Foucault, partir sur les traces du psychanalyste Jacques Lacan, découvrir les grands titres de la rentrée littéraire en France ou se plonger dans des sections enfant ou bande-dessinée bien fournies.
On trouve aussi les confessions de l'ancienne compagne du président français, François Hollande, Valérie Trierweiler, mais seulement dans un tiroir, pas sur la table, pour ceux qui le réclament spécifiquement.
"Ca fait tellement longtemps qu'on l'attendait... C'est une véritable réponse aux prières de la +francofolle+ que je suis", salue Ellen Count, qui tient un blog de littérature.
Mary Gaitskill, romancière américaine invitée elle aussi au festival, était "très étonnée" d'y avoir été conviée, avouant à l'AFP "ne pas connaître grand chose de la culture française"...
"Pour que cela marche, il faudrait organiser encore plus d'événements pour amener le public à rencontrer des gens comme Emmanuel (Carrère). Personne ne peut ne pas aimer ses bouquins, encore faut-il qu'on en entende parler", insiste-t-elle.
Sobrement, M. Carrère acquiesce: "J'ai envie d'être lu aux Etats-Unis... Ce que je suis un peu depuis finalement 20 ans. Mais plus ça le sera, mieux ce sera".

cat19