lundi 10 mars 2014

mercredi 12 mars : 10 projets innovants portés par des femmes

A voir en (belles) images ici :
http://www.youphil.com/fr/article/07264-portfolio-projets-journee-internationale-femme/?ypcli=ano

[Portfolio] Dix projets innovants portés par des femmes

1Leila Ouadah

Les femmes dans les métiers du bâtiment? Quasi-absentes! C'est en partie pour combler ce vide que Leila Ouadah a fondé l'entreprise sociale "Dames, l’efficacité du bâtiment Ô féminin", en 2010. L'idée de ce projet: proposer une formation et un parcours d'insertion aux métiers du bâtiment, à des femmes souvent éloignées de l'emploi. En 2013, elle s’est vue décerner le trophée Artisans mag', qui met en lumière les initiatives d'artisans. 

2Selene Biffi

Le 23 mars 2013, un établissement un peu particulier ouvrait ses portes à Kaboul (Afghanistan): une école de contes. Fondé par la jeune italienne Selene Biffi, cet établissement souhaite garder les traces de la tradition orale dans la culture du pays. Une belle initiative saluée en 2012 par le "Prix Rolex à l’esprit d’entreprise".

3Rosalie Botti

Rosalie Botti est présidente du marché de Cocovico à Abidjan (Côte d'Ivoire), qu’elle a racheté avec six autres femmes après que celui-ci a fermé. "Je n'ai pas fait d'études, et aujourd'hui me voilà devant la presse française pour présenter Cocovico. Jamais je n'aurais cru que ce serait possible”, avait-elle expliqué à Youphil.com en 2010. Son marché accueille plusieurs milliers de personnes chaque jour et Rosalie anime une coopérative de près de 200 femmes.

4Charlotte Fredouille

En partie victime de son succès touristique et des mauvaises habitudes de ses habitants, l’île de Bali (Indonésie) est de plus en plus saccagée par les déchets. Un problème auquel a décidé de s’attaquer Charlotte Fredouille, en créant l’association Peduli Alam avec le soutien de son amie Laetitia Giroux, en février 2009. La structure sensibilise les écoliers de l’île au tri sélectif, et met également en place un réseau de poubelle ainsi que le ramassage des ordures.

5Laurence Lascary

En 2008, Laurence Lascary crée De l’autre côté du périph’, une société de production audiovisuelle. Basée à Montreuil, celle-ci est spécialisée dans les films qui évoquent la diversité. En 2010 elle lance la Journée des jeunes producteurs indépendants (JJPI), pour mettre en valeur les nouveaux acteurs de l’industrie audiovisuelle.

6Hélène Gounot

Pas vraiment fan des meubles Ikea? Alors vous pouvez toujours regarder du côté de l’entreprise Extramuros, dirigée par la jeune Hélène Gounot. Le concept est simple: récupérer de vieux matériaux ou des déchets pour en faire du mobilier unique ou en série limitée. Créé en 2005 en tant qu’association, le projet Extramuros a évolué en 2008 en devenant une entreprise d’insertion.

7Gisèle Tsobanian

Récompensée par le Prix Clarins 2013 des “Femmes dynamisantes”, Gisèle Tsobanian est directrice de l’association Les Toiles enchantées. Depuis sa création en 1997, celle-ci sillonne les routes de France pour permettre à des enfants hospitalisés ou handicapés d’accéder gratuitement à des séances de cinéma. 

8Mélanie Cataldo

Mélanie Cataldo (première en partant de la droite) fonde Planète sésame 92, un traiteur-restaurant, en 2008. Cette entreprise d’insertion basée à Nanterre emploie dix personnes. L’idée: former des jeunes aux métiers de la restauration, tout en valorisant les produits issus du commerce équitable et de l’agriculture biologique. 

9Domitille Flichy

Vous prenez du bon pain fabriqué de façon artisanale, vous le mélangez à de l’économie sociale et solidaire, et vous obtenez Farinez’vous: la première boulangerie d’insertion en France, fondée en 2008. Sa créatrice, Domitille Flichy (troisième en partant de la gauche), emploie aujourd’hui dix salariés. Une deuxième boulangerie devrait prochainement ouvrir ses portes dans le 13e arrondissement de Paris.

10Chantal Mainguené

Difficile de mêler travail, horaires décalés et garde d’enfant, d’autant plus pour les familles monoparentales. Face à cette problématique, Chantal Mainguené fonde le réseau Môm’artre en 2001, dans le 18e arrondissement de Paris. Cette crêche pour enfants de 6 à 11 ans dispose de tarifs adaptés en fonction des revenus des parents et a des horaires d’ouvertures plus larges. Depuis, la structure a essaimé dans d’autres arrondissements de la capitale, à Arles, Nantes et Nîmes.

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